XLD : ripper son CD en DSD?
Publié : 12 juin 2016 11:47
Hallo tous!
XLD c'est mis il y a quelques temps à jour, apportant par la même occasion la possibilité de coder ses fichiers en DSD. Hop premier truc qui me passe par la tête : ripper son CD en DSD. Vu le poids, le temps que ça prend et les crash incessants, je m'étais pas plus penché à là dessus au premier abord. Mais après quelques tests j'ai enfin réussi à trouver la bonne manip pour réussir mes rips.
J'ai commencé par réimporter mes CD en .dff 128 (le 64 plante systématiquement). À raison d'un traitement piste par piste (traitement par lot abouti systématiquement au crash du logiciel) autant dire que ça prend une plombe avec mon SuperDrive USB. Je me retrouve avec des dossiers de 3-4 gigas.
J'ai en suite réimporter les CD en Apple Lossless 16/44. Et pour comparer je me suis munis des version hi-res de chez Qobuz de certaines galettes que je possédais déjà et pour lesquelles j'avais craqué. Que j'ai aussi rippé en DSD.
Au final l'album de Christine and the Queen, je me suis retrouvé avec 4 versions différentes : le CD en alac, le CD en DSD, le hi-res en alac et le hi-res en DSD.
Alors pour résumer CD DSD > hi-res alac = hi-res DSD > CD alac.
En gros sur mon AK240SS et sur le Mojo relié par USB via le Mac et lecture depuis Audirvana, le CD importé en DSD sonne divinement bien, mieux que le CD original et que le 24 bit. Ça sonne comme sur un bel ampli à tube, une belle texture qui descend bien dans le bas du spectre, on dirait un autre enregistrement.
Alors la grande question c'est pourquoi. Sur le AK320 je n'entend aucune différence entre le CD DSD et le CD alac, c'est donc bien le DSD qui apporte quelque chose. Je n'ai que trois/quatre albums que je possède en multi versions et le constat est systématiquement le même.
L'autre truc bizarre c'est qu'une version hi-res convertie en DSD n'apporte rien de plus par rapport à l'original.
XLD c'est mis il y a quelques temps à jour, apportant par la même occasion la possibilité de coder ses fichiers en DSD. Hop premier truc qui me passe par la tête : ripper son CD en DSD. Vu le poids, le temps que ça prend et les crash incessants, je m'étais pas plus penché à là dessus au premier abord. Mais après quelques tests j'ai enfin réussi à trouver la bonne manip pour réussir mes rips.
J'ai commencé par réimporter mes CD en .dff 128 (le 64 plante systématiquement). À raison d'un traitement piste par piste (traitement par lot abouti systématiquement au crash du logiciel) autant dire que ça prend une plombe avec mon SuperDrive USB. Je me retrouve avec des dossiers de 3-4 gigas.
J'ai en suite réimporter les CD en Apple Lossless 16/44. Et pour comparer je me suis munis des version hi-res de chez Qobuz de certaines galettes que je possédais déjà et pour lesquelles j'avais craqué. Que j'ai aussi rippé en DSD.
Au final l'album de Christine and the Queen, je me suis retrouvé avec 4 versions différentes : le CD en alac, le CD en DSD, le hi-res en alac et le hi-res en DSD.
Alors pour résumer CD DSD > hi-res alac = hi-res DSD > CD alac.
En gros sur mon AK240SS et sur le Mojo relié par USB via le Mac et lecture depuis Audirvana, le CD importé en DSD sonne divinement bien, mieux que le CD original et que le 24 bit. Ça sonne comme sur un bel ampli à tube, une belle texture qui descend bien dans le bas du spectre, on dirait un autre enregistrement.
Alors la grande question c'est pourquoi. Sur le AK320 je n'entend aucune différence entre le CD DSD et le CD alac, c'est donc bien le DSD qui apporte quelque chose. Je n'ai que trois/quatre albums que je possède en multi versions et le constat est systématiquement le même.
L'autre truc bizarre c'est qu'une version hi-res convertie en DSD n'apporte rien de plus par rapport à l'original.