Atrium [ ey-tree-uhm ] // is a Roman architectural term referring to a centrally open room often at the entrance to a space, typically with domed or otherwise pitched ceiling. With the ZMF Atrium, you get our most open design, which features our patent-pending rear damping system that accentuates stage layering, depth, tactile "feel" with realistically natural timbre.
The Atrium expands the range of spatial sound experience first incepted with the auteur (now the “auteur classic”), through its shared biocellulose driver heritage and linear ZMF tuning.
The current stock wood for the Atrium is Cherry. The Cherry is finished in either a natural or aged copper finish (for an added cost).
Non, jamais. Ça sera une première.
J'ai juste beaucoup lu et écouté, pour ce que ça veut dire ...
Il y a une boutique en Suisse qui les propose les ZMF, mais elle est trop loin.
Par ailleurs, je lorgne sur le VC depuis bientôt un an, sans jamais avoir passé le pas, faute de l'avoir essayé.
Alors quand j'ai vu celui-ci. Je me suis dit merdocu, je le prends.
Et j'ai l'impression que c'est le plus abouti de la gamme, on verra.
Nomade =>DAP : PAW 6000 // UIEM : IE800 S / Legend x TN : iPhone + Sony WH-1000XM4
Voilà maintenant plus d’un mois que le casque ZMF Atrium est arrivé à mon domicile Le chemin qui m’a conduit à acheter ce casque n’a pas été très long (un an environ) et pour ceux qui cela intéresse, j’en décris les étapes sur le forum musique-o-casque avec un petit hommage au Grado GS3000e : Re: A propos du Grado GS3000e
J’ai fait connaissance avec la marque ZMF un peu par hasard après plusieurs recherches et lectures sur internet. Il me semblait alors que ZMF n’était pas encore très connu en France, en comparaison avec des marques comme Focal, Hifiman, Kennerton ou Sennheiser. Beaucoup plus aux USA où les revues et comparatifs avec son grand frère « Vérité » sont nombreux. J’ai eu la possibilité de pouvoir comparer les deux mais mon choix s’est porté sur l’Atrium
Tout d’abord d’un point de vue esthétique, les ZMF sont magnifiques. Adorant le bois, l’association du cerisier avec le noyer de mon ampli Auris est parfaite. Les grilles extérieures, reprenant je crois les motifs de la rose de la Cathédrale d’Amiens, sont aussi très réussies.
En écoutant l’Atrium la première fois, j’ai été d’emblée impressionné par la puissance du son, l’impact des graves et une scène sonore inédite. La largeur de cette scène est très différente de celle d’autres casques (comme le Vérité ou le Grado où la spatialisation reste très gauche-droite). Ici la sensation de hauteur et de profondeur est sans commune mesure. Cela est parfois déstabilisant car vous n’êtes plus devant la scène mais à l’intérieur, au centre de la musique (d’où le nom peut-être de ce casque). Vous participez presque au morceau. Beaucoup de personnes parlent de son 3D ou holographique, c’est vrai mais le son reste naturel, sans artifice. Rien à voir cependant avec le son « dolby Atmos » ou binaural créé pour enjoliver l’écoute.
Les graves et médiums sont mis vraiment en avant (certains parlent d’un casque « sombre ») et les instruments en bénéficient : guitares, batterie, synthétiseurs mais aussi violons, basses… Les voix (surtout masculines) également. Vous ressentez les notes, le poids des doigts sur les touches, le frottement de l’archet sur les cordes… Quelque chose de physique, de tactile.
Contrairement à des caques très résolvants et rapides, chaque note s’éteint lentement, avec un certain délai, ce qui renforce ce sentiment de réalisme.
Du côté des aigus, c’est plus calme, plus reposant et léger et aussi moins fatiguant sur certaines voix féminines
C’est d’ailleurs la complexité de ce casque. Avec sa scène énorme, l’impact sonore qu’il propose, il n’est pas dédié je trouve à une écoute toute en douceur ou reposante et rêveuse. Et dans le même temps, aucune fatigue à l’écoute, vous enchaînez les morceaux pour de longues sessions. Un peu comme dans un concert, au moment des rappels, où vous voulez entendre un autre morceau, puis encore un autre même si vos oreilles commencent à chauffer.
Sur la partie confort, le casque n’est pas léger mais bien équilibré et les pads par défaut (universe) très agréables. J’ai eu quelques difficultés au début pour trouver la position en hauteur la plus confortable avec les tiges crantées. Entre position ferme (un cran), plus lâche (deux), la seconde étant mieux adaptée pour de longues écoutes. Je n’ai pas encore essayé l’autre paire de pads livrés (BE2).
Ecoutant des styles de musiques très variées (pop, folk, électronique, jazz, acoustique), tous les genres passent parfaitement.
Mais attention, contrairement à ce que j’ai lu, l’enregistrement doit être de qualité et pas forcément en Hi-res. De vieux albums des années 80 au format CD peuvent revivre et retrouver leur souffle du temps passé et d’autres, plus récents, apparaissent sans relief. Mais globalement le ZMF est indulgent par rapport à d’autres casques comme l’Utopia. La musique électronique et celles de compositions très travaillées (effets acoustiques, réverbérations, échos de voix, apparition d’instruments variés) sont sublimées. J’essaierai de faire quelques chroniques d’albums écoutés avec ce casque mais par exemple, le dernier Lambchop (The Bible) ou Nova Cardinale (Superpose) sont un régal à écouter avec le ZMF.
Voilà un petit aperçu et mes premières impressions sur le ZMF Atrium que je place pour le moment dans le top des casques que j’ai pu écouter. Merci de m’avoir lu
