Autrement, je suis particulièrement frappé, à l'écoute du Kann que m'a prêté jxh, de la densité du son délivré par ce lecteur : chaque note semble avoir son poids propre de "chair", de présence. Sur les Oriolus, c'est la fête aux timbres, en particulier dans les graves qui, avec ce combo, ont une ampleur et une finesse dans le rendu des résonances que je ne connaissais pas jusqu'alors...
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Par ailleurs la sortie ligne symétrique me semble d'une très grande qualité : branché via un LOD spécifique (commandé... chez Oriolus, justement !) à un iBasso PB2 soigneusement configuré pour obtenir le maximum d'impact et de transparence à la fois (cf. ma signature sous le spoiler), le Kann restitue un son follement entraînant et transparent, dansant et très incarné.
Avec le Kann, je me sens clairement un cran au-dessus du Shanling M3s dont la signature, par comparaison, me paraît un peu congestionnée, moins exubérante et moins précise en même temps que celle de l'Astell&Kern.