QLS QA361
- polo
- J'ai des câbles en or massif
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Pour ma part, avec ce Qls361, je prends une sacrée claque
Ouiiiiii ! c'est beau et volumineux. Déjà par sa neutralité et sa transparence, je dois dire que Diana Krall ( et pas que !! ) passe crème
Quelle musicalité !
Le son est d'une très grande précision, doté d'un côté analytique assez incroyable, une profondeur abyssal, des timbres à tomber.. Quel dynamisme Je l'écoute aussi bien avec un Final Pandora HVI couplé avec un ALO CDM qu'avec par moment, des Soundwriter Quel réalisme !
Ouiiiiii ! c'est beau et volumineux. Déjà par sa neutralité et sa transparence, je dois dire que Diana Krall ( et pas que !! ) passe crème
Quelle musicalité !
Le son est d'une très grande précision, doté d'un côté analytique assez incroyable, une profondeur abyssal, des timbres à tomber.. Quel dynamisme Je l'écoute aussi bien avec un Final Pandora HVI couplé avec un ALO CDM qu'avec par moment, des Soundwriter Quel réalisme !
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- Le mono y'a que ca de vrai !
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Bonjour,
le QLS QA361 me fait de l'œil.
Est-il fiable, pas de panne connue, fragilité, SAV, etc ?
Je demande ça car j'ai eu 3 DTR1 avec pour chacun un problème différent, j'ai fini par laisser tomber.
le QLS QA361 me fait de l'œil.
Est-il fiable, pas de panne connue, fragilité, SAV, etc ?
Je demande ça car j'ai eu 3 DTR1 avec pour chacun un problème différent, j'ai fini par laisser tomber.
DAP : DX300
Bureau : Matrix Audio mini-I 4, Violectric DHA v590²
IEM : FIR Audio VxV
Casques : Hifiman 1000se
Bureau : Matrix Audio mini-I 4, Violectric DHA v590²
IEM : FIR Audio VxV
Casques : Hifiman 1000se
On n'est jamais à l'abri d'un pépin mais je n'ai jamais eu aucun problème avec mes appareils QLS, y compris le 361
Sédentaire: QA390 -> Elear & Genelec 8030c
Nomade: BTR7 & R8ii -> FF3 & U12T & Bellos X4 & Omnium
Ultra Nomade: APP2
Nomade: BTR7 & R8ii -> FF3 & U12T & Bellos X4 & Omnium
Ultra Nomade: APP2
- Dur_de_la_feuille
- Je mange des Kellogg's Corn Flac
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Bonjour à tous,
Me voilà en possession d'un Quloos QA361, que je suis heureux de pouvoir tester.
Séduit de prime abord par la très belle dynamique dont il fait preuve et les basses profondes qu'il martelle ...
... j'étais néanmoins un peu déçu hier soir de lui trouver - dans une écoute comparative - un manque d'aigus important vis-à-vis de mes autres DAP.
Même avec le paramètre"tuning mode" réglé sur "bright".
Lui reconnaissez vous ce caractère "mat" ?
Me voilà en possession d'un Quloos QA361, que je suis heureux de pouvoir tester.
Séduit de prime abord par la très belle dynamique dont il fait preuve et les basses profondes qu'il martelle ...
... j'étais néanmoins un peu déçu hier soir de lui trouver - dans une écoute comparative - un manque d'aigus important vis-à-vis de mes autres DAP.
Même avec le paramètre"tuning mode" réglé sur "bright".
Lui reconnaissez vous ce caractère "mat" ?
- Dur_de_la_feuille
- Je mange des Kellogg's Corn Flac
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2nde observation
Cet appareil offre d'étonnantes possibilités d'amplification - normal, large current, high voltage, double high - qui mobilisent 1, 3 ou 6 OPA 1622 ! De quoi faire face à toutes les exigences ou presques sur le papier !
À l'usage cependant, la différence entre ces modes n'est pas toujours audible. Je m'attendais à ce que ce soit net, comme en branchant un ampli nomade sur un lecteur, mais non. La scène sonore n'évolue pas, ni plus large, ni plus profonde. Je ne perçois pas non plus de changement immédiat dans les basses.
En passant de la sortie asymétrique à la sortie symétrique il y a un bénéfice sonore net (plus de relief et de dynamisme) qui ne peut pas être reproduit en activant les modes large current ou high voltage sur la sortie asymétrique.
Bien que ne faisant pas partie des plus simples à piloter, ni les Tinhifi P1 (qui demandent du courant), ni le Sennheiser HD650 (qui demande de la tension), ni le Sundara (qui demande du courant) n'ont semblé nécessiter absolument l'un de ces modes plus musclés que normal.
Il n'y a que le Sundara que j'ai pu entendre se libérer d'une légère congestion en switchant sur le mode large current (ou tout autre mode que normal). Il gagne alors un peu en articulation et en transparence. C'est pas flagrant, mais présent.
Vu que je n'ai même pas eu besoin du high gain (qui ne change rien au son là encore, ce n'est qu'une bride haute qui libère une nouvelle plage de volume), j'en conclu que ce lecteur est bâti pour piloter des casques plus lourds que ce que j'ai chez moi et que le mode normal (plus économe avec la batterie) suffira la plus grande partie du temps.
Pour autant, j'observe que sur mes casques cette armada d'amplis op (6 x OPA 1622) reste audiblement moins convaincante que l'amplification de l'AR-M2 sur le plan de la séparation, de l'aération et de l'articulation. Mais il s'agit vraisemblablement d'une référence haute en la matière.
Edit : mais le QA 361 fait tout de même mieux que le Calyx M sur ce dernier registre.
Cet appareil offre d'étonnantes possibilités d'amplification - normal, large current, high voltage, double high - qui mobilisent 1, 3 ou 6 OPA 1622 ! De quoi faire face à toutes les exigences ou presques sur le papier !
À l'usage cependant, la différence entre ces modes n'est pas toujours audible. Je m'attendais à ce que ce soit net, comme en branchant un ampli nomade sur un lecteur, mais non. La scène sonore n'évolue pas, ni plus large, ni plus profonde. Je ne perçois pas non plus de changement immédiat dans les basses.
En passant de la sortie asymétrique à la sortie symétrique il y a un bénéfice sonore net (plus de relief et de dynamisme) qui ne peut pas être reproduit en activant les modes large current ou high voltage sur la sortie asymétrique.
Bien que ne faisant pas partie des plus simples à piloter, ni les Tinhifi P1 (qui demandent du courant), ni le Sennheiser HD650 (qui demande de la tension), ni le Sundara (qui demande du courant) n'ont semblé nécessiter absolument l'un de ces modes plus musclés que normal.
Il n'y a que le Sundara que j'ai pu entendre se libérer d'une légère congestion en switchant sur le mode large current (ou tout autre mode que normal). Il gagne alors un peu en articulation et en transparence. C'est pas flagrant, mais présent.
Vu que je n'ai même pas eu besoin du high gain (qui ne change rien au son là encore, ce n'est qu'une bride haute qui libère une nouvelle plage de volume), j'en conclu que ce lecteur est bâti pour piloter des casques plus lourds que ce que j'ai chez moi et que le mode normal (plus économe avec la batterie) suffira la plus grande partie du temps.
Pour autant, j'observe que sur mes casques cette armada d'amplis op (6 x OPA 1622) reste audiblement moins convaincante que l'amplification de l'AR-M2 sur le plan de la séparation, de l'aération et de l'articulation. Mais il s'agit vraisemblablement d'une référence haute en la matière.
Edit : mais le QA 361 fait tout de même mieux que le Calyx M sur ce dernier registre.
Dernière modification par Dur_de_la_feuille le 28 mars 2023 18:43, modifié 1 fois.
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Je le trouve plutôt « naturel » pour ma part : pas « mat » en tout casDur_de_la_feuille a écrit : ↑28 mars 2023 12:05 Bonjour à tous,
Me voilà en possession d'un Quloos QA361, que je suis heureux de pouvoir tester.
Séduit de prime abord par la très belle dynamique dont il fait preuve et les basses profondes qu'il martelle ...
... j'étais néanmoins un peu déçu hier soir de lui trouver - dans une écoute comparative - un manque d'aigus important vis-à-vis de mes autres DAP.
Même avec le paramètre"tuning mode" réglé sur "bright".
Lui reconnaissez vous ce caractère "mat" ?
Pas de souci ou de sensation d’aigus manquants non plus
- Dur_de_la_feuille
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Dans ma perception, ça se joue dans la façon dont il donne à percevoir l'air autour des instruments et des voix, l'air autour de la scène. La façon dont le lecteur rend compte de l'espace et de l'atmosphère en quelque sorte. Le traitement des réverbs ? En particulier dans les hautes fréquences où je note d'importantes différences avec mes 3 autres lecteurs.
- Dur_de_la_feuille
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Ma perception n'a pas évoluée au fil des écoutes.
J'ai peu d'expérience avec les puces d'AKM.
Peut-être que ce que je perçois là est la signature de cette génération de puces AKM (la 4495 SE ici) ?
J'ai peu d'expérience avec les puces d'AKM.
Peut-être que ce que je perçois là est la signature de cette génération de puces AKM (la 4495 SE ici) ?
- Dur_de_la_feuille
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Je livre quelques compléments d'infos au fil de mes écoutes.
Je le comparais plus particulièrement à l'AR-M2 hier soir, en source du Sennheiser HD650 et des Tinhifi P1.
L'AR-M2 ne propose qu'une sortie asymétrique. Côté QA361, ces deux casques/intras profitent audiblement de la sortie symétrique qui améliore systématiquement le rendu sonore à mes oreilles.
La première différence notable est le niveau de bruit extrêmement faible du QA361 qui produit comme on dit un fond noir (des silences non pollués de bruit blanc). Je crois que je n'ai rien entendu de tel ailleurs. Ça participe au sentiment de relief aussi je dirais.
Si la scène sonore offerte par l'AR-M2 demeure toujours plus large que celle du QA361, ce dernier produit plus de hauteur et de profondeur pour une bulle sonore au fond plus homogène que la scène étirée de l'AR-M2.
Si les deux DAP réussissent à proposer avec l'HD650 une écoute à la fois poignante et bien articulée (j'ai l'album Platinum de Deep Purple en tête), il m'a semblé quelques fois que le HD650 était un peu plus décontracté encore avec le QA361, un bénéfice potentiel de son plus haut niveau de tension (avec l'option High Voltage).
Attention, quand j'écrivais que je trouvais le QA361 plus mat que mes autres DAP... Je ne voulais pas dire "chaud". Il a pour moi une signature neutre. Les timbres ne sont absolument pas teintés selon moi. J'écrivais "mat" par opposition à "brillant" ou "scintillant". On ne peut pas dire en effet que le Quloos manque d'aigus. Ma perception a peut-être plus à voir avec l'amortissement des notes. En jouant sur les options du DAP, notamment le tuning mellow/bright et les filtres slow/fast/etc., ce sentiment s'atténue un peu. Il est plus probable même, que cet aspect "mat" du son soit directement lié à ces silences très noirs auxquels je n'étais pas habitué jusqu'ici et qui peut-être continuent de biaiser mon jugement, tant c'est la marque de ce lecteur pour moi.
Je le comparais plus particulièrement à l'AR-M2 hier soir, en source du Sennheiser HD650 et des Tinhifi P1.
L'AR-M2 ne propose qu'une sortie asymétrique. Côté QA361, ces deux casques/intras profitent audiblement de la sortie symétrique qui améliore systématiquement le rendu sonore à mes oreilles.
La première différence notable est le niveau de bruit extrêmement faible du QA361 qui produit comme on dit un fond noir (des silences non pollués de bruit blanc). Je crois que je n'ai rien entendu de tel ailleurs. Ça participe au sentiment de relief aussi je dirais.
Si la scène sonore offerte par l'AR-M2 demeure toujours plus large que celle du QA361, ce dernier produit plus de hauteur et de profondeur pour une bulle sonore au fond plus homogène que la scène étirée de l'AR-M2.
Si les deux DAP réussissent à proposer avec l'HD650 une écoute à la fois poignante et bien articulée (j'ai l'album Platinum de Deep Purple en tête), il m'a semblé quelques fois que le HD650 était un peu plus décontracté encore avec le QA361, un bénéfice potentiel de son plus haut niveau de tension (avec l'option High Voltage).
Attention, quand j'écrivais que je trouvais le QA361 plus mat que mes autres DAP... Je ne voulais pas dire "chaud". Il a pour moi une signature neutre. Les timbres ne sont absolument pas teintés selon moi. J'écrivais "mat" par opposition à "brillant" ou "scintillant". On ne peut pas dire en effet que le Quloos manque d'aigus. Ma perception a peut-être plus à voir avec l'amortissement des notes. En jouant sur les options du DAP, notamment le tuning mellow/bright et les filtres slow/fast/etc., ce sentiment s'atténue un peu. Il est plus probable même, que cet aspect "mat" du son soit directement lié à ces silences très noirs auxquels je n'étais pas habitué jusqu'ici et qui peut-être continuent de biaiser mon jugement, tant c'est la marque de ce lecteur pour moi.
- DaveStarWalker
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NonDur_de_la_feuille a écrit : ↑28 mars 2023 12:05 Bonjour à tous,
Me voilà en possession d'un Quloos QA361, que je suis heureux de pouvoir tester.
Séduit de prime abord par la très belle dynamique dont il fait preuve et les basses profondes qu'il martelle ...
... j'étais néanmoins un peu déçu hier soir de lui trouver - dans une écoute comparative - un manque d'aigus important vis-à-vis de mes autres DAP.
Même avec le paramètre"tuning mode" réglé sur "bright".
Lui reconnaissez vous ce caractère "mat" ?
Le mode "bright" ceci étant dit fonctionne d'une façon subtile. Réelle mais subtile. C'est davantage d'une "levée de voile" (faute d'une meilleure expression) qu'il faudrait parler. Le mode "bright" implique un peu plus d'air, de séparation et d'éclat, une plus grande immédiateté générale, une sensation de définition générale légèrement supérieure à l'autre mode.
Et bon, j'étais le cul entre deux chaises, et au fil de mes écoutes, c'est... Le tuning "mellow" qui finalement s'impose
Apparemment, les PrimeS n'ont besoin d'aucun "coup de pouce".
Aussi et enfin, en écoutant vraiment analytiquement ce que cela fait, ces modes agissent surtout sur la texture et la densité des sons, notes ...
En combinant avec les filtres (slow, fast, etc), on arrive à obtenir un réglage très fin, et finalement optimal.
- DaveStarWalker
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Alors,
J'ai continué ma découverte des différentes possibilités sonores et musicales des filtres et modes de tuning au fil des jours et des environnements d'écoutes (en particulier le métro parisien )...
Voici mon verdict final :
- en faible gain
- amplification "normale"
- tuning "bright"
- filtre "short delay sharp" (= filtre "minimum phase fast Linear" / je ne crois pas que cela existe chez ESS, mais peut-être me trompais-je...) ou "Sharp" (= Linear Fast).
- sortie symétrique (jack 3,5mm ; il faut un adaptateur : mais j'en ai un excellent)
- volume 41 (sur 100)
Donc, juste le profil "bright" et un petit ajustement de volume à la fin. Avec le recul, mes toutes premières impressions se sont donc confirmées, du moins avec les iems, le câble et les embouts que j'utilise.
Ce qui suit, je pense, est intéressant, et je les partage donc :
Comprendre les six filtres numériques du DAC AKM 4493SEQ :
Chaque filtre numérique du DAC AKM 4493SEQ façonne de manière unique la qualité sonore. Voici un bref aperçu :
1. Sharp Roll-off Filter :
- Principale caractéristique : atténuation prononcée, atténuation des fréquences juste en dehors de la plage souhaitée.
- Avantage : réduit efficacement l'aliasing mais peut introduire des artefacts de sonnerie.
- Idéal pour : ceux qui recherchent une reproduction précise du signal, en particulier dans les pistes complexes.
2. Slow Roll-off Filter :
- Principale caractéristique : pente d'atténuation progressive.
- Avantage : moins de sonnerie et de distorsion de phase, offrant un son naturel ; légèrement moins efficace contre l'aliasing.
- Idéal pour : les auditeurs qui préfèrent une qualité audio plus douce et plus naturelle.
3. Short Delay Sharp Roll-Off Filter :
- Principale caractéristique : atténuation rapide avec retard du signal réduit.
- Avantage : limite la pré-sonnerie tout en maintenant une atténuation de fréquence claire.
- Idéal pour : les personnes sensibles au timing et à la phase mais désirant une reproduction audio claire.
4. Short Delay Slow Roll-off Filter :
- Principale caractéristique : atténuation lente avec retard minimisé.
- Avantage : son naturel avec moins de distorsion de phase et pré-sonnerie réduite.
- Idéal pour : les auditeurs appréciant le son naturel et la cohérence de phase.
5. Super Slow Roll-off Filter :
- Principale caractéristique : pente d'atténuation encore plus douce.
- Avantage : minimise le déphasage et la sonnerie, garantissant un son doux.
- Idéal pour : les audiophiles qui privilégient une expérience d'écoute très douce et naturelle.
6. Low Dispersion Short Delay Filter :
- Principale caractéristique : équilibre la dispersion temporelle et la netteté de l'atténuation.
- Avantage : réduit à la fois la pré- et la post-sonnerie pour un son équilibré.
- Idéal pour : Ceux qui recherchent un son équilibré avec une distorsion de phase minimale.
Mes deux "meilleurs choix" de filtres sont en bleu, et au final, pour résumer, mon choix, subjectif, est cette combinaison complète :
(Short Delay) Sharp ~ Bright ~ Normal ~ Low Gain
Possesseurs de DAPs avec du AKM, amusez vous, et surtout n'oubliez pas en toute fin que le plus important c'est la musique et le plaisir que vous en retirerez...
J'ai continué ma découverte des différentes possibilités sonores et musicales des filtres et modes de tuning au fil des jours et des environnements d'écoutes (en particulier le métro parisien )...
Voici mon verdict final :
- en faible gain
- amplification "normale"
- tuning "bright"
- filtre "short delay sharp" (= filtre "minimum phase fast Linear" / je ne crois pas que cela existe chez ESS, mais peut-être me trompais-je...) ou "Sharp" (= Linear Fast).
- sortie symétrique (jack 3,5mm ; il faut un adaptateur : mais j'en ai un excellent)
- volume 41 (sur 100)
Donc, juste le profil "bright" et un petit ajustement de volume à la fin. Avec le recul, mes toutes premières impressions se sont donc confirmées, du moins avec les iems, le câble et les embouts que j'utilise.
Ce qui suit, je pense, est intéressant, et je les partage donc :
Comprendre les six filtres numériques du DAC AKM 4493SEQ :
Chaque filtre numérique du DAC AKM 4493SEQ façonne de manière unique la qualité sonore. Voici un bref aperçu :
1. Sharp Roll-off Filter :
- Principale caractéristique : atténuation prononcée, atténuation des fréquences juste en dehors de la plage souhaitée.
- Avantage : réduit efficacement l'aliasing mais peut introduire des artefacts de sonnerie.
- Idéal pour : ceux qui recherchent une reproduction précise du signal, en particulier dans les pistes complexes.
2. Slow Roll-off Filter :
- Principale caractéristique : pente d'atténuation progressive.
- Avantage : moins de sonnerie et de distorsion de phase, offrant un son naturel ; légèrement moins efficace contre l'aliasing.
- Idéal pour : les auditeurs qui préfèrent une qualité audio plus douce et plus naturelle.
3. Short Delay Sharp Roll-Off Filter :
- Principale caractéristique : atténuation rapide avec retard du signal réduit.
- Avantage : limite la pré-sonnerie tout en maintenant une atténuation de fréquence claire.
- Idéal pour : les personnes sensibles au timing et à la phase mais désirant une reproduction audio claire.
4. Short Delay Slow Roll-off Filter :
- Principale caractéristique : atténuation lente avec retard minimisé.
- Avantage : son naturel avec moins de distorsion de phase et pré-sonnerie réduite.
- Idéal pour : les auditeurs appréciant le son naturel et la cohérence de phase.
5. Super Slow Roll-off Filter :
- Principale caractéristique : pente d'atténuation encore plus douce.
- Avantage : minimise le déphasage et la sonnerie, garantissant un son doux.
- Idéal pour : les audiophiles qui privilégient une expérience d'écoute très douce et naturelle.
6. Low Dispersion Short Delay Filter :
- Principale caractéristique : équilibre la dispersion temporelle et la netteté de l'atténuation.
- Avantage : réduit à la fois la pré- et la post-sonnerie pour un son équilibré.
- Idéal pour : Ceux qui recherchent un son équilibré avec une distorsion de phase minimale.
Mes deux "meilleurs choix" de filtres sont en bleu, et au final, pour résumer, mon choix, subjectif, est cette combinaison complète :
(Short Delay) Sharp ~ Bright ~ Normal ~ Low Gain
Possesseurs de DAPs avec du AKM, amusez vous, et surtout n'oubliez pas en toute fin que le plus important c'est la musique et le plaisir que vous en retirerez...