[Séries] Vos séries cultes vos coup de coeur du moment ?
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13 janvier
13 janvier
No Hype, No Hope... No TN
La première règle de Tn est : il est interdit de parler de TN... Si c'est ton premier soir sur TN, tu dois passer par les PAs
Test ton ouïe et ton matos ici : http://www.audiocheck.net/audiotests_su ... cktest.php
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Elle est dispo sur quelle plate-forme cette série kristo ?
C'est The Handmaid's Tale en VO, OCS MAX et TF1 Séries Films la diffuse.Td310 a écrit :Elle est dispo sur quelle plate-forme cette série kristo ?
Sinon c'est une série Hulu un site de VOD US
http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/b ... 6a503dd84/
On l’attendait avec impatience. Bandersnatch, le mystérieux épisode interactif de Black Mirror, est enfin arrivée sur Netflix vendredi 28 décembre. Un internaute semble déjà avoir découvert tous ses secrets. Quelques heures après sa mise en ligne, un utilisateur du réseau social Reddit répondant au pseudonyme «alpine» a ainsi publié un schéma détaillant tous les arcs narratifs possibles proposés dans cet épisode offrant le choix entre plusieurs «réalités parallèles».
Au total, le spectateur aurait le choix entre 13 fins alternatives, d’après lui. Durant les 90 minutes du divertissement, le spectateur est amené à faire des choix qui influent sur le scénario et aboutissent à des péripéties différentes selon ses décisions. Toutes les cinq minutes, il est invité à choisir entre deux options qui modifieront la conclusion de l’épisode. Lorsqu’un scénario est terminé, le spectateur peut recommencer depuis le départ ou revenir en arrière et effectuer un autre choix à un moment donné.
Yes, je me le garde pour le réveillon du premier de l'An, ce Black Mirror. Ce sera certainement moins festif que les émissions d'Arthur, mais j'aime pas ce réveillon, de toute façon.
Ah d'accord, merci Woophiewoophie a écrit : C'est The Handmaid's Tale en VO, OCS MAX et TF1 Séries Films la diffuse.
Sinon c'est une série Hulu un site de VOD US
Vu (fait...) hier soir : trop bien !! Ca dure au minimum 40 mais on a mis 1h30 à "finir" l'histoire, et sans spoiler : il y a bien sûr une multitude de fins possibles, d'embranchements, c'est passionnant et tellement bien conçu ! Black Mirror est vraiment une série hors du commun.zamilka a écrit :Yes, je me le garde pour le réveillon du premier de l'An, ce Black Mirror. (Y)(Y) Ce sera certainement moins festif que les émissions d'Arthur, mais j'aime pas ce réveillon, de toute façon. :bravo:
Pour les curieux, un mec sur reddit a fait un tableau qui récapitule la complexité de l'histoire :
Episode 7 de mon côté.woophie a écrit :Commencé 3 épisodes sur 10 de la série netflix YOU
Je demande si cela va tenir jusqu'au bout, mais pour l'instant ca se regarde.
Une voix off qui s'adresse aux spectateurs, a lui même et à sa proie.
C'est glauque, l'histoire n'a rien de joyeux. personne n'a envie de vivre ce qu'il s'y passe..
l'aspect thriller semble prendre de l'ampleur..
certaines critiques y voient un personnage proche de Dexter, mais non en aucun cas pour moi.
et ce n'est pas une série ou on prend son plaisir à voir un homme harceler une femme..
la narration de cette voix off du prédateur, qui n'oublie pas l'humour, ou même l'auto dérision y fait beaucoup et évite que la série nous laisse perplexe à aborder ce sujet.. l'aspect thriller narratif est ce que je retiens et ca fonctionne bien.
et ce n'est qu'une fiction et donc un plaisir coupable..
Je vais arrêter là : j'ai l'impression de regarder une série pour ado du type Gossip Girl ou Pretty Little Liar mais revisité pour les adultes. Peut-être dû aux acteurs mais dans tous les cas c'est un peu simpliste je trouve.
DAP Hibty R6/ PAW S1 / Qudelix
Intras Oriolus Szalayi / Sony XBA3-NP / CA Supermoon
Intras Oriolus Szalayi / Sony XBA3-NP / CA Supermoon
Cool le retour, merci, ça donne envie ! Je regarderai le tableau après avoir plongé un peu dans le concept. Je le garde donc dans un coin.kookaburra a écrit :Vu (fait...) hier soir : trop bien !! Ca dure au minimum 40 mais on a mis 1h30 à "finir" l'histoire, et sans spoiler : il y a bien sûr une multitude de fins possibles, d'embranchements, c'est passionnant et tellement bien conçu ! Black Mirror est vraiment une série hors du commun. :(l)zamilka a écrit :Yes, je me le garde pour le réveillon du premier de l'An, ce Black Mirror. (Y)(Y) Ce sera certainement moins festif que les émissions d'Arthur, mais j'aime pas ce réveillon, de toute façon. :bravo:
Pour les curieux, un mec sur reddit a fait un tableau qui récapitule la complexité de l'histoire :On a fait une bonne partie de tout ça et on a adoré ! (Y)
Et oui, c'est une sacrée série, principalement les 3 premières saisons, truffées de petits bijoux. J'ai trouvé la quatrième un peu en dessous, moins maîtrisée (le charme de la production à l'anglaise s'étant vraiment trop perdu à mon goût), mais je ne lui en tiens pas rigueur et ai hâte de plonger dans Bandersnatch... demain si tout se passe bien ! Je tâcherai de faire un petit topo également.
- DarkZunicorn
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J'ai la flemme de vérifier qui a conseillé ici même la série The Haunting of Hill House mais je le remercie à plat ventre...
Je n'ai cessé de me dire, durant tout le film : mais... c'est la même maison hantée que celle où a lieu La Maison du Diable (The Haunting) de Robert Wise, ce petit chef-d'oeuvre de l'épouvante british des années 1960, tellement en avance sur son temps ! Jusqu'à cet incroyable escalier tournant en fer forgé qui a traumatisé mon enfance... Pas étonnant, en fait : les deux s'inspirent (plus ou moins librement) de cet autre chef-d’œuvre (littéraire cette fois-ci) qui porte le même nom que la série, The Haunting of Hill House (La Maison Hantée/Hantise), de la romancière américaine Shirley Jackson, que j'adore (mais sans doute plus pour le vénéneux Nous avons toujours vécu au château, au commencement si admirable...)
Seule la fin m'a un peu déçu... mais je vous laisse la découvrir à votre tour, si ce n'est déjà fait : le chemin pour y parvenir vaut largement le détour.
Une grande série, faite avec amour et maestria.
Je n'ai cessé de me dire, durant tout le film : mais... c'est la même maison hantée que celle où a lieu La Maison du Diable (The Haunting) de Robert Wise, ce petit chef-d'oeuvre de l'épouvante british des années 1960, tellement en avance sur son temps ! Jusqu'à cet incroyable escalier tournant en fer forgé qui a traumatisé mon enfance... Pas étonnant, en fait : les deux s'inspirent (plus ou moins librement) de cet autre chef-d’œuvre (littéraire cette fois-ci) qui porte le même nom que la série, The Haunting of Hill House (La Maison Hantée/Hantise), de la romancière américaine Shirley Jackson, que j'adore (mais sans doute plus pour le vénéneux Nous avons toujours vécu au château, au commencement si admirable...)
The Haunting (1963) : le fameux escalier tournant en fer forgé...
Bref : une série ne m'avait pas procuré un tel plaisir cinématographique depuis la première saison de True Detective. Dans cette dernière, c'est surtout le jeu des acteurs et l'image qui saisissent aux tripes. Dans The Haunting, c'est l'extraordinaire raffinement ludique de la narration et la précision redoutable de la mise en scène ainsi que celle du montage. Tout est cadré au cordeau, depuis le tout premier plan jusqu'aux profondeurs les plus inquiétantes de l'arrière-plan (qu'il ne faut jamais perdre de vue ! ), le choix des plans est parfois juste à pleurer d'intelligence (ah, les plans serrés à l'occasion de tel ou tel monologue qui donnent l'impression intense et contradictoire de plonger dans la psyché des personnages et en même temps de se heurter au mur de leurs préjugés et de leurs peurs : c'est troublant d'humanité) et l'on est parfois entraîné dans le vertige de figures de style visuelles qui, personnellement, m'ont laissé pantois (comme par exemple le plan-séquence des funérailles, tellement naturel et chargé de sens à la fois).Seule la fin m'a un peu déçu... mais je vous laisse la découvrir à votre tour, si ce n'est déjà fait : le chemin pour y parvenir vaut largement le détour.
Une grande série, faite avec amour et maestria.
FiiO KA17 + FiiO ESTICK → Shozy P20 avec Lunashops LN008523 et FiiO HS18
Pioneer U-05-S → Geshelli Erish → Fostex TH-610 avec Lunashops LN008324 XLR4 et bonnettes d'origine
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Merci ! J’allais passer à côté de ce petit bijou !
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- Samarithan
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Merci DZ pour ce joli compte-rendu. Elle était sur ma liste "bordelfautquejetrouveletempsderegarderça", elle vient de passer en top priorité.
C'était moi. Avec plaisirDarkZunicorn a écrit : J'ai la flemme de vérifier qui a conseillé ici même la série The Haunting of Hill House mais je le remercie à plat ventre... :soumis: :soumis:
Je n'ai cessé de me dire, durant tout le film : mais... c'est la même maison hantée que celle où a lieu La Maison du Diable (The Haunting) de Robert Wise, ce petit chef-d'oeuvre de l'épouvante british des années 1960, tellement en avance sur son temps ! Jusqu'à cet incroyable escalier tournant en fer forgé qui a traumatisé mon enfance... Pas étonnant, en fait : les deux s'inspirent (plus ou moins librement) de cet autre chef-d’œuvre (littéraire cette fois-ci) qui porte le même nom que la série, The Haunting of Hill House (La Maison Hantée/Hantise), de la romancière américaine Shirley Jackson, que j'adore (mais sans doute plus pour le vénéneux Nous avons toujours vécu au château, au commencement si admirable...)
The Haunting (1963) : le fameux escalier tournant en fer forgé...Bref : une série ne m'avait pas procuré un tel plaisir cinématographique depuis la première saison de True Detective. Dans cette dernière, c'est surtout le jeu des acteurs et l'image qui saisissent aux tripes. Dans The Haunting, c'est l'extraordinaire raffinement ludique de la narration et la précision redoutable de la mise en scène ainsi que celle du montage. Tout est cadré au cordeau, depuis le tout premier plan jusqu'aux profondeurs les plus inquiétantes de l'arrière-plan (qu'il ne faut jamais perdre de vue ! :-O :-O :-O ), le choix des plans est parfois juste à pleurer d'intelligence (ah, les plans serrés à l'occasion de tel ou tel monologue qui donnent l'impression intense et contradictoire de plonger dans la psyché des personnages et en même temps de se heurter au mur de leurs préjugés et de leurs peurs : c'est troublant d'humanité) et l'on est parfois entraîné dans le vertige de figures de style visuelles qui, personnellement, m'ont laissé pantois (comme par exemple le plan-séquence des funérailles, tellement naturel et chargé de sens à la fois).
Seule la fin m'a un peu déçu... mais je vous laisse la découvrir à votre tour, si ce n'est déjà fait : le chemin pour y parvenir vaut largement le détour.
Une grande série, faite avec amour et maestria.
Mon coup de cœur de l'année, sans aucun doute. La seule série d'épouvante qui est réellement parvenue à me faire PEUR. Et la scène la plus saisissante de la filmographie d'horreur à mes yeux (épisode 1 "surtout garde bien les yeux fermés !).
Je partage complètement ton analyse sur la mise en scène, notamment l'épisode des trois plans séquences absolument remarquable. D'ailleurs je vous invite à aller voir la filmographie du créateur / réalisateur Mike Flanagan, a qui l'on doit notamment Jessie, Hush, et l'excellentissime Occulus / The Mirror.
Il faut souligner le jeu des acteurs, de tout premier plan.
Enfin je suis complètement d'accord avec toi sur le dernier épisode, qui vient en complète césure avec le rythme fou des épisodes précédents. Le réalisateur s'en explique d'ailleurs, ainsi que pourquoi il a choisi cette fin là, et pas une autre qu'il détaille. Mais pas de spoils
PS : Slate la met dans sa liste des dix séries de 2018 a voir ;)
- Buzthafuzz
- TN m'a tuer
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La maison du diable de 63, le film qui a pourri mon enfance, pendant lequel on ne voit pas le moindre truc. La scène dans la chambre avec les deux filles qui se serrent la main en sentant la présence qui les observe par l'imposte de la porte et la prise de vue en subjectif par cette même imposte puis la chute de la séquence, une idée toute con, une scène qui m'a marqué à vie.