Les Musiques de Films qui ont fait des Tubes... (ou pas !)

[Poka]

Bon, c'est juste pour rigoler un peu , le célèbre morceau El Bimbo de Jet Bimbo, un groupe de disco français, créé en 1975 par Claude Morgan et Laurent Rossi. Ils sont les auteurs de deux tubes de cette époque : El Bimbo et La Balanga

Dans Police Academy, une école de police ouverte à tous candidats sans qualifications particulières accueille bientôt le turbulent Carey Mahoney. Un individu qui fera tout pour s'en faire renvoyer avec l'aide de ses camarades tout aussi farfelus. Et surtout envoyer deux lèches bottes au Blue Oyster Bar
Sources : Allociné et Wikipédia

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[Poka]

Et merci à Iron Man d'avoir fait appel à ACDC pour sa BO
Les tubes étaient là avant les films
Z'avez le droit de kiffer, danser, vous éclater, c'est pas encore imposable

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[Poka]

Dans 9 semaines et demi, Elizabeth, divorcée, travaille à la Spring Street Gallery, une galerie d'art de New York. C'est en faisant ses courses chez un épicier chinois qu'un homme la remarque et provoque chez elle un certain émoi. Ce mystérieux inconnu ne tarde pas à l'aborder et l'invite à déjeuner dans un restaurant italien.

Bien sûr la scène du strip tease a bien marqué les esprits des adolescents et des de leurs pères , mais aussi grâce à sa musique

You Can Leave Your Hat On est une chanson de blues composée par Randy Newman et parue sur son album Sail Away en 1972. Elle a été rendue célèbre par Joe Cocker en 1986 pour son utilisation dans la scène de strip-tease du film 9 semaines 1/2 d' Adrian Lyne. Elle apparaît sur l'album Cocker du chanteur la même année.
Sources : Allociné et Wikipédia

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Une version chantée par Tom Jones a été utilisée pour le film The Full Monty, l'histoire d'un petit groupe de chômeurs qui décide de faire du strip-tease afin de gagner de l'argent et, pour le personnage principal, de payer la pension qui lui permet de continuer à voir son fils.
Sources : Allociné et Wikipédia

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[Poka]

Après une scène de ménage Jasmin atterrit au Bagdad Café, motel minable entre Disneyland et Las Vegas. La patronne, Brenda, Noire tapageuse et insatisfaite, règne sur tout un petit monde de routiers et de personnages énigmatiques. Peu à peu, Jasmin se fait apprécier de tous et remet même le café à flot grâce à "Magic", une boite de magie avec laquelle elle monte des tours assistée de Brenda. Entre les deux femmes va naître une solide amitié.

Jevetta Steele, née à Gary dans l'Indiana le 11 novembre 1963, est une chanteuse américaine de gospel.
Malgré ses débuts dans le rock et des collaborations avec a-ha, Prince & The New Power Generation, Prince Rogers Nelson ou George Clinton, elle arrêta rapidement sa carrière solo réellement lancée par Here It Is. Le single Hold Me la fera connaître et Calling You, comme bande-originale du film Bagdad Café parachèvera son succès.
Sources : Allociné et Wikipédia

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[Wayne Shelton]

@ Poka :Dans "Neuf semaines et demie" les dernières secondes de la chanson sont vraiment insoutenables lorsqu'on regarde la scène...
Je me demande bien pourquoi ??
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[Wayne Shelton]

Allez,on remet dix sous dans le biniou ! Aujourd'hui un truc de malade à voir et entendre absolument...
A voir ou revoir et à réécouter à l'envie !

Mais tout d'abord, un peu d'histoire.

Dan Aykroyd et John Belushi se rencontrent dans la troupe théâtrale d’improvisation « Second City ».
En 1975, ils intègrent tous deux le nouveau show télévisé, Saturday Night Live où ils roderont leur concept des Blues Brothers.

Différentes versions courent sur l’origine de l’idée… Ont-ils créé les personnages à la demande de la production de SNL (qui aurait voulu allier musique et comique) ou bien celle-ci a-t-elle germée dans leurs cerveaux à l’occasion d’une soirée dans un Cabaret de blues (le Club 505 à Toronto) ?

Toujours est-il que Dan, fervent de musique noire, interprétait régulièrement des standards de rythm’n blues avec le Downchild Blues Band et que John son ami, quant à lui, était un grand amateur d'Heavy metal…

John Belushi allias Jake Blues et Dan Aykroyd allias Elwood Blues seront donc deux frères… au look de gangsters, selon les uns, ou celui de musiciens déguisés en hommes d’affaires pour leurrer les policiers, selon les autres (en référence à la pochette de disque de J.L. Hooker des années 50) …chantant et se déhanchant sur des rythmes endiablés...

La connotation comique ne devant pas exclure la qualité musicale, ils s’entourent donc de musiciens de renom : Paul Shaffer, pianiste du SNL ; Tom Malones allias Bones, excellent tromboniste de jazz ; de deux Soul Men issus du groupe Booker T. and the M.G.'s (M pour la ville de Memphis) : les guitariste Steve Cropper et bassiste Donald « Duck » Dun; pour compléter la formation, Matt « Guitar » Murphy, guitariste de Blues intègre le team. Tout est maintenant OK pour lancer les Blues Brothers.

Le Band ainsi composé d'une section rythmique typique de Memphis et d'une section de cordes New yorkaise est donc prêt à jouer ses premiers vrais concerts.

Après s’être fait la main dans de petites salles comme le Lone Star Café et parallèlement à leurs participations en direct dans de nombreuses émissions du SNL, ils se retrouvent en première partie à l’Amphithéâtre Universal, devant le Who's who hollywoodien. L'enthousiasme soulevé par leurs performances, les incite à enregistrer en 1978 leur 1er album : Briefcase Full of Blues avec notamment "Soul Man" (d’Isaac Hayes et David Porter) qui deviendra la meilleure vente de Blues aux States, avec plus de 3,5 millions de copies.

Ci-après, Soul Man en direct dans le show du Saturday Night Live.
(La qualité du son est très moyenne mais admirez la chorégraphie exécutée par Dan Aykroyd allias Elwood Blues, à l'arrière plan )


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1980 : c’est une grande tournée pour promouvoir la sortie du film éponyme qui retrace l’histoire fictive des Blues Brothers sur une idée originale de Dan Aykroyd, revue et corrigée par John Landis, qui assurera également la mise en scène.
(John Landis, c’est le gus qui a réalisé Thriller pour Michael Jackson… Oui Monsieur ! Moi je dis : Respect ! )

The Blues Brothers n'est pas considéré par leurs auteurs comme un film sur la musique, mais comme une comédie musicale à part entière, notamment par le choix des musiques (auquel Landis et Aykroyd seront particulièrement attentifs). On y retrouve des standards incontour-nables interprétés en reprise par Jake et Elwood Blues ou les propres titres des chanteurs engagés pour le film.

Le recrutement de stars comme James Brown, John Lee Hooker, Aretha Franklin, Ray Charles ou Cab Calloway ne fut pas un problème en raison du fait qu'à la fin des 70's, ceux-ci étaient sans contrats. Les faire chanter en play-back fut une toute autre histoire…

"Ils ne chantent jamais 2 fois de la même façon. Ce qui est grandiose si vous les voyez en concert, mais si vous essayez de les filmer en play-back... It's a pain in the ass!".
(Dixit John Landis)

Ainsi donc, Ray Charles, les Blues Brothers et Aretha Franklin sont filmés en playback alors que James Brown et John Lee Hooker le seront en «live ».

L’aventure des Blues Brothers s’arrêtera prématurément…

John Belushi grand consommateur de cocaïne dans les années 1970, s’adonne depuis 1981 à l’alcool et à l’héroïne ; il meurt à 33 ans, le 5 mars 1982 d’une overdose par injection de Speedball* !

(pour les curieux : c’est "juste" un mélange de cocaïne et d’héroïne. La coke stimule le rythme cardiaque mais ses effets se dissipant plus vite que l’héro, celle-ci, à son tour, ralentit le cœur…. Wouah ! pas bon du tout, à éviter absolument !)

Classé 4ème des meilleurs films de l’année 1980 par les spectateurs (cf Allo Ciné) The Blues Brothers vaut la peine d’être vu et écouté, la bande son est un régal



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Et puis il y a aussi des Messieurs très respectables qui parlent de remuer la plume du bout de la queue (Shake A Tail Feather)
(en France on dit pas tout à fait comme ça, mais bon... p'tête que je m'trompe)

Mister Ray Charles

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Avec ce qui suit, on atteint l'extase paroxysmique avec un monument de l'American Music-Hall et de l'élégance masculine......
j'ai nommméééé.... Môosieur Caaab Calloowwwaaayyyy !!! Cab Calloway, Yeah !
(Au passage, admirez la mèche, si c'est pas la classe ça)


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D'autres stars du R n' B jouent et chantent dans ce qu'il convient d'appeler une comédie musicale. Retrouvez-les dans ce Jailhouse (Prison) Rock final


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Et puis tiens, un petit bonus track en prime juste pour faire voir que c'était un vrai groupe qui aimait la scène


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à la mémoire de John Adam Belushi, Rest in Peace.

[Tutut]

Dommage que je connaisse déjà, ça m'aurait donné en vie de le découvrir.

[Poka]

Tu peux redécouvrir Kim Basinger, surtout à 3'50"...On s'en lasse pas

[g g]

Je vais faire plaisir à un de nos amis TNdiens...

Dans Furyo, à Java en 1942 : un camp de prisonniers américains est dirigé par le capitaine Yonoi, un chef japonais à la poigne de fer. A la crainte et au mépris qu'éprouvent les prisonniers et les subalternes du capitaine à l'endroit de ce dernier, s'oppose la résistance étonnante d'un soldat anglais, Jake Celliers. Face à son attitude provocante, Yonoi devient de plus en plus sévère dans le but de faire plier le rebelle.

A la dissolution de Japan, David Sylvian collabore avec Ryuichi Sakamoto pour le titre « Forbidden Colours » sur la Bande Originale du film Merry Christmas, Mr. Lawrence (Furyo). Le magnifique album Brilliant Trees qui suit en 1984, réunit Holger Czukay (Can) et Jon Hassell.

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poka je te remets le mérite de m'avoir dressé le poil partout ! encore une perle de mon enfance que j'avais oubliée c'est super de me les faire remonter à la surface

[jxh]

Juste une question les gars : les textes qui accompagnent vos vidéos sont de vous, auquel cas bravo, sinon ce serait bien de citer la source et de quoter le texte recopié

[Wayne Shelton]

Juste une question les gars : les textes qui accompagnent vos vidéos sont de vous, auquel  cas bravo, sinon ce serait bien de citer la source et de quoter le texte recopié

Remarque très juste qui justifie une petite mise au point.

En ce qui me concerne, le rédactionnel tel qu'il apparaît sur TN est effectivement le fruit de ma plume. Comme il serait présomptueux de prétendre que je suis un puits de science connaissant tout par coeur, (dates, détails et anecdotes) même si je peux arguer d'une petite expertise en ce domaine, j'admets volontiers que je procède à un travail d'auto-contrôle de mes connaissances, d'investigation et de collecte de certaines données sur le Net ; que celles-ci sont vérifiées en croisant des sources aux origines variées. Lorsque la citation (la plupart du temps non signée) elle-même cadre parfaitement au contexte, je m'impose une réécriture afin d'en modifier la forme sans en altérer le fond.
Et si je suis amené à citer in-extenso un texte ou des chiffres, je trouve normal d'en nommer l'auteur ou le support média (voir mon dernier post).
Pratiquant ce type d'exercice dans un domaine tout autre, sur un site lié à mon activité professionnelle, je suis très conscient des notions et règles qui s'attachent aux droits d'auteurs, au copyright et même à la simple déontologie. Lorsque les sources sont multiples, qu'elles se recoupent et sont souvent elles-même reprises de sources inidentifiables, "citer ne rime plus à grand-chose" ; on tombe alors dans le domaine public.

Par ailleurs, le côté anecdotique du topic, plus qu'une vocation informative formelle, allié à la démarche dénuée de tout intérêt autre que le but désintéressé de distraire au sein d'un cercle privé, certes ouvert à tous, n'échappera à personne de sensé.

Reste l'aspect fair-play, où je te rejoins totalement jxh... Sinon, merci pour l'appréciation, effectivement, cela demande un peu de boulot.

[manwalk]

Et ton dernier texte d'explication, il est aussi de toi là? ^^
Je rejoins jxh, respect.

[Wayne Shelton]

Et ton dernier texte d'explication, il est aussi de toi là? ^^
Je rejoins jxh, respect.

Sérieux : c'est plus pour cadrer les choses au cas où...

[Poka]

N'ayant pas les qualités d'écriture de Wayne Shelton, c'est plutôt du Wikipedia
Je vais ajouter les sources

[Wayne Shelton]

Là, je suis carément en avance... Le film n'est pas encore sorti ! Enfin si et puis, du coup, c'est pas le film qui fait la musique mais tout le contraire ! On fait tout à l'envers, j'vous dis

Sortie aujourd'hui même, mercredi 24 septembre 2014, dans toutes les bonnes salles (comme on disait jadis) de
GET ON UP
James BROWN, une Epopée américaine

Coproduit par Mick Jagger, il s'agit d'un biopic (ou quelque chose du genre) sur "The Godfather of Soul" (le parrain de la Soul),
Celui-là même qui a été l'inspirateur du chanteur des Stones ainsi que de Mickael Jackson pour leur façon de bouger sur scène !
Allez, je ne vous en dis pas plus... Si !! Allez le voir

Voici la bande-annonce

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Et puis tiens ! Je vais pas me gêner pour me faire plaisir... Ci -après un petit extrait qui vient conforter la justesse de la signature de mes posts

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