extrait d'un des plus beaux albums de Francis Albert Sinatra "In the Wee Small Hours" qui est considéré comme un des tous premiers "concept Album", chacun des titres évoquant un sentiment différents tels que la solitude, l' introspection, l' amour perdu, l'échec des relations, la dépression...
Pas très gai tout ça, certes, mais la mélancolie et le charme qui habitent cet album n'ont pas pris une ride
There's a dream I keep having, where my momma comes to me
And kneels down over by the window, and says a prayer for me. Got my own way of praying, but everyone's begun With a southern accent, where I come from
Il n'aime pas les noirs, il n'aime pas les latino-américains, il n'aime pas les homosexuels, il aime les femmes mais il en parle d'une drôle de façon... Aime-t'il les jeunes, les handicapés, les vieux et les gens différents ? J'ai bien peur que non...
Il s'est vanté publiquement qu'il n'hésiterait pas à tirer un coup de revolver dans la tête de quelqu'un en pleine rue et pire encore, il a affirmé que le bouton de l'arme nucléaire ne l'impressionne pas et qu'il sera capable d'appuyer dessus...
Ce n'est pas un mur qu'il va bâtir entre le Mexique et l'Amérique, c'est l'inhumanité qu'il va dresser contre l'humanité et au prétexte de se protéger des différences, il va élever un culte à l'indifférence.
Putain, j'espère au moins qu'il aime la musique parce que sinon, on est sacrément dans la merde !
Mon Amérique à moi, je la croyais multiculturelle, multicolore, se foutant des genres... Mais il est vrai que j'ai toujours été un utopiste !
La Grande Bretagne a ouvert la voie du repli sur soi avec le Brexit, les USA lui emboitent le pas au risque d'une sédition nationale... Espérons que l'épidémie s'arrêtera là.
Un génial sujet de sa Majesté la Reine Elisabeth avait résumé le fond de ma pensée et de pas mal d'autres, me semble-t'il :
"Show Must Go On !"
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Dernière modification par Wayne Shelton le 16 nov. 2016 09:48, modifié 1 fois.
à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
Lucio Dalla est né à Bologne... Tout le pays connaissait sa date de naissance : "4 Marzo 1943" qui est le titre d’un de ses grands succès en Italie, où il fût l'un des plus célèbres chanteurs nationaux de ces cinquante dernières années.
Forte personnalité, au caractère entier et indépendant, il a fait ses toutes premières armes musicales auprès des jazzmen américains, dont le très "borderline" Chet Becker.. Son style d'écriture si particulier qui plaisait énormément à ses compatriotes est dû au fait que ses textes étaient écrits avec des mots puisés dans les dialectes locaux de la péninsule ou dans le verbiage argotique de la rue...
Il est mort au tout début de ce qui devait être sa dernière grande tournée internationale, victime d'un infarctus en sortant de scène à Montreux (Suisse) le 1er mars 2012.
En France, il est surtout connu pour ce chef-d'oeuvre musical qu'il a écrit et composé à cause, ou plutôt grâce à un coup de pouce du destin qui, fort heureusement, n'a pas toujours que de funestes conséquences...
"Je l’ai écrite par hasard. J’avais cassé mon bateau et je me suis retrouvé à Sorrente, près de Naples, dans l’hôtel où Enrico Caruso, napolitain lui-même (qualifié de plus grand chanteur d'opéra de tous les temps par de nombreux critiques) a passé ses derniers jours. On m’a logé dans sa suite et j’ai écrit la chanson en utilisant le piano sur lequel il jouait, et en m’inspirant d’une vieille chanson napolitaine. Je n’aurais jamais pensé qu’elle se vendrait à 30 millions d’exemplaires dans le monde. Sans cette avarie, jamais je ne l’aurais écrite."
Cette magnifique composition musicale sera sublimée par l'interprétation magistrale du très grand (et un peu narcissique) ténor,Luciano Pavarotti
Les voici réunis tous deux sur scène pour un court instant de volupté magique, comme seule la musique est capable d'offrir à nos oreilles...
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à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
Wayne Shelton a écrit :Il n'aime pas les noirs, il n'aime pas les latino-américains, il n'aime pas les homosexuels, il aime les femmes mais il en parle d'une drôle de façon... Aime-t'il les jeunes, les handicapés, les vieux et les gens différents ? J'ai bien peur que non...
Il s'est vanté publiquement qu'il n'hésiterait pas à tirer un coup de revolver dans la tête de quelqu'un en pleine rue et pire encore, il a affirmé que le bouton de l'arme nucléaire ne l'impressionne pas et qu'il sera capable d'appuyer dessus...
Ce n'est pas un mur qu'il va bâtir entre le Mexique et l'Amérique, c'est l'inhumanité qu'il va dresser contre l'humanité et au prétexte de se protéger des différences, il va élever un culte à l'indifférence.
Putain, j'espère au moins qu'il aime la musique parce que sinon, on est sacrément dans la merde !
Mon Amérique à moi, je la croyais multiculturelle, multicolore, se foutant des genres... Mais il est vrai que j'ai toujours été un utopiste !
La Grande Bretagne a ouvert la voie du repli sur soi avec le Brexit, les USA lui emboitent le pas au risque d'une sédition nationale... Espérons que l'épidémie s'arrêtera là.
Un génial sujet de sa Majesté la Reine Elisabeth avait résumé le fond de ma pensée et de pas mal d'autres, me semble-t'il :
"Show Must Go On !"
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Mince je n'avais pas pas vu cela.
Quel post d'anthologie
Le très classique "Message dans une bouteille" revisité par deux talentueux artistes qui se connaissent bien.
Le guitariste suédois Ulf Wakenius est associé à la scène avec la seule et unique chanteuse de jazz sud-coréenne identifiée comme telle, Youn Sun Nah
Cette interprète est bien connue en France ; elle est venue y étudier la musique et le chant et c'est sur les scènes parisiennes où elle se découvre une passion pour le Jazz que ses interprétations sont remarquées par le contrebassiste Jacques Vidal qui l'invite sur son disque Ramblin' (1999).
Le style souvent décapant de la jeune femme lui taille une jolie réputation dans l'hexagone qui, malheureusement, ne semble pas avoir atteint les rives de son pays natal où son talent reste ignoré.
On les découvre ici l'un et l'autre dans une version très agréable de "Message in a Bottle" le tube de l'année 1979 du groupe The Police.
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à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
Un jour... un Artiste... un Disque... un Tube...
Interprétée pour la 1ère fois en 1973 par Artie Kaplanchanteur-saxophoniste qui l'a composée (avec Artie Kornfeld) cette chanson sort sous le titre pour le moins iconoclaste,"Confessions of a Male Chauvinist Pig"ce qui, reconnaissons le, évoque à lui seul tout un programme mais n'est pas très glamour...
Ce morceau connaît alors plus qu'un succès d'estime mais c'est grâce au film français "pour la peau d'un flic" (réalisé et interprété par Alain Delon,) qu'il réapparait en 1981 sous le titre"Bensonhurst Blues".il est désormais interprété par Oscar Bentonun artiste au pseudonyme à consonance anglo-saxonne né à La Haye (Pays Bas) et dont le véritable nom bien néerlandais lui, est Ferdinand van Eilf...
La ressemblance (à une lettre près) entre son nom de scène et le nouveau titre est totalement fortuite puisque ce cher Oscar chante et joue de la guitare avec son groupe de rock (le Blues Band Oscar Benton) depuis 1967... Par ailleurs, le nouveau titre donné à la chanson "Bensonhurst Blues" est tiré du nom d'un quartier new-yorkais, surnommé la "Petite Italie de Brooklyn" (réputée autrefois pour avoir été un refuge de la Mafia), justement au coeur du thème de l'oeuvre qui nous intéresse aujourd'hui.
Ferdinand van Machin, heu, pardon.. Oscar Benton, ne va pas aller chercher bien loin le style vocal à prendre pour l'interpréter puisqu'il se contente ni plus ni moins de se glisser dans les pompes de son prédécesseur, adoptant le ton rauque bien gras, de Kaplan dans l'original ; sauf que cette fois, le succès sera immédiat et mondial !
Tant pour Artie Kaplan que pour Oscar Benton, cette chanson restera l'élément émergeant de leur carrière de chanteur-musicien. A ce jour, ils sont tous deux encore bien vivants, tant mieux pour eux !
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Paroles : Bay Parkway wonder
You're such a success
Your pretty secretary, ha
She say you are the best
Your face always smiling
say you sure paid your dues
But I know inside
You've got the Bensonhurst blues
Those custom-made ciggies
that you offer to me
pretend and pretend to care about my family
And those pictures on your desk
All them lies that you abuse
Do they know you suffer
from the Bensonhurst blues
Your grandmother's accent
still embarrasses you
You're even ashamed
of the French you once knew
You're part of the chance now
They break you making the news
But I know inside
you've got the Bensonhurst blues
But thanks for the lesson
Cause the life that I choose
won't make me feel like living
with the Bensonhurst blues
And don't, don't try to write me
And don't bother to call
Cause I'll be in conference
Merry Christmas you all
à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
Chanteur français qui a connu son heure de gloire dans les années 70 ,François Béranger nous a laissé quelques chansons aux beaux textes engagés et poétiques .
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"
A million white flowers in a field in the sky
Seemed to spell out a greeting as the children flew by
A guard in a chariot of silver and gold
Gave the children all tickets, then the story he told
Of a time in the future that was sunshine and flowers
And the children grew sleepy in the sky's white towers
They dreamed of the story that the guard had displayed
They saw all the wonders, tiny minds were amazed
They saw candy forests and dragons that breathed fire
On all that was evil in the misty mire
They came to the village where the turtles in caves
Made pies for the people and the lemonade
The people lived out by the sea and each day
The seagulls would wake them as they passed on their way
The people were kindly, they would sing to the sky
And each bright new morning, the sun shone from their eyes
The children passed over and all the people could see
As they dived from the sky to the treacle sea
They bathed on the white sand, minutes turned into hours
And the children all giggled and gave each other flowers
The King from his castle came down to the sea
And he spoke to the children so patiently
He gave them small presents and bid them farewell
And the children unwrapped them, tiny silver bells
Their tinkling floated across the island with ease
And it came back toward them on the perfume breeze
They smiled at the tinkling, they gazed at the sun
And they smiled at each other, pretty little ones
A beautiful white horse came down to the sea
And the children all climbed up as he knelt on one knee
They rode through the valleys and high over hills
And they laughed oh so loudly, their fear to kill
They came to a lakeside of deep velvet and green
And they all stared in wonder at its beauty serene
They climbed from the white horse, they watch as it goes
As they stood by the green lake water kissed their toes
A boat in the distance was suddenly there
Waiting to take the children to anywhere
The porcupine captain said that he didn't mind
In his coat of blunt needles, he looked very kind
His crew were six rabbits with fluffy white ears
And the children all stroked them and lost all their fears
They sailed through the sunshine, across the green lake
And they drank lemonade and they ate ice-cream cake
They landed in a dark cave as the boat disappeared
And they all stood in darkness, through the shadows they peered
But out of the blackness shone diamonds so bright
Their tiny white hands shielded eyes from the light
In a pool of quicksilver stood Neptune so wise
And pearls were his white teeth, bright diamonds his eyes
He spoke to the children in a voice of velvet
And he beckoned them to him, in a circle they sat
He told of sky island and of his magic cave
And magic pink seashells to the children he gave
They listened intently as the music came forth
From the magic pink seashells and nobody talked
But Neptune had vanished when they lifted their eyes
So they walked from the cave as two kingfishers cried
In the bright shiny sunlight, they got down on one knee
They listened to the sea shells of the musical sea
But the day grew much darker, so they climbed on the breeze
And they floated to the village, and the people were pleased
To see them so happy with their tinkling bells
And the people all listened to the musical shells
But the children were so sad, the time had come to leave
So the people waved goodbye and begged them to believe
Of the wonders they had seen in the island of the sky
And the children said they would and away they did fly
Through the white clouds of no time till forever it seems
And the children stayed children and they lived in their dreams"
End of the game : Cayin n8ii + Empire ears Odyssey + EA Chiron 8W+ Sedna crystal
Essai des EE Raven
Devise "Je me demande si je ne fais pas une connerie en le vendant."
]Mon Best of, donc subjectif, sans prétention et sujet à de nombreux changements au fil des (ré)écoutes avec du matos différent, de l'évolution de mes gouts et de la qualité de mes souvenirs !. Et si j'avais la possibilité de réécouter des intras tel que TG 334 ou Melody Miracle, le classement pourrait changer !
L'Amour, La Solitude, La Vieillesse, La Mort ! Une Ode à La Vie...
Mon lit se transforme en quai de gare quand toi tu pars... Tu m'as vidé de tous mes mots, pourtant moi, j'avais du talent avant ta Peau...
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Je ferai un domaine où l'Amour sera Roi, où l'Amour sera Loi, où tu seras Reine.... Laisse moi devenir l'ombre de ton ombre, l'ombre de ta main, l'ombre de ton chien mais ne me quitte pas...
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Le coeur quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien... Avec le temps, va, tout s'en va... Avec le temps, va, tout va bien...
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Il est de toute première instance que nous façonnions nos idées comme s'il s'agissait d'objets manufacturés. Je suis prêt à vous procurer les moules... Si vous n'avez pas dès ce jour, le sentiment relatif de votre durée, il est inutile de vous transmettre. Il est inutile de regarder devant vous, car devant c'est derrière, la nuit c'est le jour !
Le désespoir est une forme supérieure de la critique, pour le moment nous l'appellerons "Bonheur". Mais la Solitude, la solitude... ça n'existe pas ! Je voudrais codifier l'incodifiable. Je voudrais mesurer vos danaïdes démocraties., je voudrais m'insérer dans le vide absolu et devenir le non-dit, le non- avenu, le non-vierge, par manque de lucidité. La lucidité se tient dans mon froc !
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Combien de temps, combien de temps encore ?.. Quand j'y pense mon coeur bat si fort. Mon Pays c'est la Vie...Combien de temps encore ? Je l'aime tant le temps qui reste... Je veux rire, courir, pleurer, parler.. J'nai pas fini, j'n'ai pas fini. Je l'aime tant le temps qui reste...J'ne sais plus où je suis né, ni quand... Je sais qu'il n'y a pas longtemps mon Pays, c'est la Vie, je sais que mon père disait : le temps c'est comme ton pain, garde-z'en pour demain... J'ai encore du pain, encore du temps, mais combien ?
Je veux jouer encore, je veux rire encore, des montagnes de rires.... Combien de temps encore ? Des années, des jours, des heures ? J'ai pas fini, j'ai pas fini ! Je veux parler jusqu'à la fin de ma voix... Je l'aime tant, le temps qui reste... Je veux rire, Je veux boire des bateaux entiers de vins de Bordeaux et d'Italie... Je veux des histoires, des voyages... J'ai tant de gens à voir, tant d'images : des enfants, des femmes, des grand hommes, des petits hommes, des marrants, des tristes , des très intelligents et des cons ! C'est drôle les cons, ça repose : c'est comme le feuillage au milieu des roses...
Combien de temps, combien de temps encore ? Je m'en fous mon Amour...Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore, quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul. Quand le temps s'arrêtera, je t'aimerai encore. Je ne sais pas où, je ne sais pas comment, mais je t'aimerai encore, d'accord ?
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Il n'est de mélodie plus belle à mon oreille que la douce musique du murmure de la pluie qui tombe la nuit et qui berce mon esprit et apaise mon coeur - KL'X.
à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
Initialement mis en musique par le français Charles Bordes en 1890, ce poème de Verlaine a été "remusicalisé" par Poldowski, qui comme son pseudo ne l'indique pas était une compositrice anglaise d'origine belge, Régine Wieniawski (1879-1932) devenue Lady Dean Paul en épousant son baronnet de mari...
Le voici revisité sublimement par la fantasque mais très talentueuse Patricia Barber, dans un délicieux français so british !
« DANSONS LA GIGUE ! »
Dansons la gigue !
J’aimais surtout ses jolis yeux,
Plus clairs que l’étoile des cieux,
J’aimais ses yeux malicieux.
Dansons la gigue !
Elle avait des façons vraiment
De désoler un pauvre amant,
Que c’en était vraiment charmant !
Dansons la gigue !
Mais je trouve encore meilleur
Le baiser de sa bouche en fleur,
Depuis qu’elle est morte à mon cœur.
Dansons la gigue !
Je me souviens, je me souviens
Des heures et des entretiens,
Et c’est le meilleur de mes biens.
Dansons la gigue !
PAUL VERLAINE
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Dernière modification par Wayne Shelton le 21 janv. 2017 19:19, modifié 3 fois.
à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
Waouuuuuch Wayne vin diou !
Ton morceau m'a cueilli, emporté, vaporisé. Cette nana est d'une présence bouleversante, j'ai même récupéré la vidéo du coup tant j'ai adoré l'intro, la contrebasse à cordes.
Non mais sérieux, le nombre de choses que tu connais...t'es l'E.T de Tn tain'....
mer..merci ! 
