[Lecture] Bouquins à se mettre sous la dent
- Denis Gaudineau
- Je mange des Kellogg's Corn Flac
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Sim Heung-Ah : Woo-Lee et moi (2007), un manhwa doux-amer sur l'enfance de deux jumelles qui vivent avec leur père. C'est très bien mené et mélancolique.
Donner, c'est donner, repeindre ses volets.
The New York Trilogy - Paul Auster
Un triptyque de polar métaphysique vraiment stylé!
A lire en VO si possible, mais sinon c'est bien quand même
Un triptyque de polar métaphysique vraiment stylé!
A lire en VO si possible, mais sinon c'est bien quand même
Baladeurs: Cowon J3, E2, X5 et O2
Casques: Monster Pro Copper soon, Ath Esw10jp
Anciens: Earsonics Sm2, Westone Um2/Um3x, D-jays, Px100/200, Ath Esw9,Klipsch X10 etc etc
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- Denis Gaudineau
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Miduru Adachi : Niji Iro Tōgarashi (vol. 1 à 3) (1990), j'ai démarré la lecture de ce manga en 6 volumes qui se passe au XIXe siècle, c'est assez amusant, entre Dragon Ball et Mon copain le Kappa
Donner, c'est donner, repeindre ses volets.
- Denis Gaudineau
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- Jeff Kinney : Le journal d'un dégonflé (t. I à III) (2007 / 2008), un roman américain avec des dessins dans le style du Petit Nicolas, c'est bien fendard et réussi !
- Naoki Urasawa : Pluto (vol. 2 & 3) (2003), toujours aussi bien foutu malgré quelques passages mielleux
- Chauvel & Denys : Le casse - Soul man (2010), une bd française de prison qui se passe aux Etats-Unis, l'intrigue est bien ficelée, le dessin assez classique, la fin est beaucoup trop rapide pour surprendre hélas mais quoi d'étonnant dans le franco-belge actuel ?
- Arnaud Le Gouëfflec & Olivier Balez : Le Chanteur sans nom (2011), une BD-enquête biographique sur Roland Avellis, alias "Le Chanteur sans nom", qui se produisit avec grand succès dans les années 30 avec un loup sur les yeux, avant de sombrer dans l'oubli, constamment repêché de la dêche et de la bonne bouffe par ses amis Piaf et Aznavour. Tout n'est pas parfait dans cet ouvrage mais c'est tout de même un récit habilement mis en scène et qui touche au but recherché, celui de la redécouverte d'un personnage fantasque du music-hall français
- Naoki Urasawa : Pluto (vol. 2 & 3) (2003), toujours aussi bien foutu malgré quelques passages mielleux
- Chauvel & Denys : Le casse - Soul man (2010), une bd française de prison qui se passe aux Etats-Unis, l'intrigue est bien ficelée, le dessin assez classique, la fin est beaucoup trop rapide pour surprendre hélas mais quoi d'étonnant dans le franco-belge actuel ?
- Arnaud Le Gouëfflec & Olivier Balez : Le Chanteur sans nom (2011), une BD-enquête biographique sur Roland Avellis, alias "Le Chanteur sans nom", qui se produisit avec grand succès dans les années 30 avec un loup sur les yeux, avant de sombrer dans l'oubli, constamment repêché de la dêche et de la bonne bouffe par ses amis Piaf et Aznavour. Tout n'est pas parfait dans cet ouvrage mais c'est tout de même un récit habilement mis en scène et qui touche au but recherché, celui de la redécouverte d'un personnage fantasque du music-hall français
Donner, c'est donner, repeindre ses volets.
je rebalance ici ce mémo trés instructif pour ceux qui sont intérressé par les in ear monitors,le boulot des ingénieurs du son et le matériel de scène.
http://www.ens-louis-lumiere.fr/fileadm ... 08-mem.pdf
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- Julien
- Je me suis greffé des intras
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Stalker : pique-nique au bord du chemin de Arkadi & Boris Strougatski.
Il figurait depuis longtemps sur ma wishlist, je me suis décidé à l'acquérir et je ne suis absolument pas déçu. Le récit est lent, noir et prend une allure prophétique au fil des pages. Les auteurs ne se perdent à aucun moment dans un dédale d'explications scientifiques qui rendrait le récit assez stérile à mon goût ; le phénomène mystérieux sur lequel est centré celui-ci est donc décrit de manière très légère voire abstraite. Au lecteur de s'imaginer les ténèbres qui entourent la zone... Je pense que les autres ouvrages de ces deux auteurs ne feront pas un pli.
Tonoharu de Lars Martinson
OVNI en approche pour ma part. Le style, la patte graphique et le rythme narratif n'étaient résolument pas pour moi à prime abord mais l'histoire se révèle être très attachante au fil des pages. N'ayant jamais voyagé au Japon je ne me peux me prononcer sur les thèmes abordés par l'ouvrage, à savoir la complexité des rapports humaines entre jeune étudiant américain, arrivé sur le territoire japonais en tant qu'assistant de langue dans un établissement scolaire, et la population japonaise qui semble insondable sous bien des aspects.
Ne sais-tu pas qu'une nuit viendra où chacun devra baisser son masque?
- barz13
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ça a l' air vraiment bien Stalker !
Sinon pour te répondre sur le Japon de ce que j' en sais, la population a la réputation a avoir du mal a accepter l' étranger.
Sinon pour te répondre sur le Japon de ce que j' en sais, la population a la réputation a avoir du mal a accepter l' étranger.
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Intra : Audio Technica ATH IM-70, Braniwavz Pro Alpha
Fervent auditeur des aboiements de DMX en HD.
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- Julien
- Je me suis greffé des intras
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Oh oui, c'est vraiment un très bon ouvrage si l'on apprécie la SF et les romans d'anticipation. (notamment pour sa réflexion sur les impacts qu'a cette zone difficilement appréhendable et apprivoisable par l'être humain)
En ce qui concerne le Japon, c'est en effet les sons de cloche que j'avais eu. Mais à travers Tonoharu, l'auteur aborde ce sujet de manière plus personnelle. La barrière de la langue alliée à des différences comportementales font des ravages sur ces expatriés qui voient leur voyage idyllique se transformer en cauchemar à chaque fois qu'ils éprouvent du mal à appréhender leur interlocteur/trice.
Le protagoniste est en plus un peu lent et maladroit, ce qui n’arrange fondamentalement rien au périple.
En ce qui concerne le Japon, c'est en effet les sons de cloche que j'avais eu. Mais à travers Tonoharu, l'auteur aborde ce sujet de manière plus personnelle. La barrière de la langue alliée à des différences comportementales font des ravages sur ces expatriés qui voient leur voyage idyllique se transformer en cauchemar à chaque fois qu'ils éprouvent du mal à appréhender leur interlocteur/trice.
Le protagoniste est en plus un peu lent et maladroit, ce qui n’arrange fondamentalement rien au périple.
Ne sais-tu pas qu'une nuit viendra où chacun devra baisser son masque?
le pitch ressemble un peu à "Stupeur et Tremblements" non?
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- Julien
- Je me suis greffé des intras
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Probablement oui.
Je n'ai vu que le film, je ne me rappelle quels étaient les réactions et les états d'esprits de la protagoniste. Il me semble en plus qu'elle travaille dans une grosse entreprise Tokyoïte alors que dans Tonoharu, le protagoniste est un "simple" assistant d'anglais dans une établissement de province, assistant duquel les professeurs n'attendent pas grand chose. (même ça varie en fonction de la personnalité des enseignants et c'est aspect très marrant et réussi de l'ouvrage à mon sens)
Je n'ai vu que le film, je ne me rappelle quels étaient les réactions et les états d'esprits de la protagoniste. Il me semble en plus qu'elle travaille dans une grosse entreprise Tokyoïte alors que dans Tonoharu, le protagoniste est un "simple" assistant d'anglais dans une établissement de province, assistant duquel les professeurs n'attendent pas grand chose. (même ça varie en fonction de la personnalité des enseignants et c'est aspect très marrant et réussi de l'ouvrage à mon sens)
Ne sais-tu pas qu'une nuit viendra où chacun devra baisser son masque?
- Denis Gaudineau
- Je mange des Kellogg's Corn Flac
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- Annie Ernaux : Les années (2008), un bouquin qui essaie de saisir l'âme d'une époque à travers des descriptions précises du quotidien et en partant à chaque fois d'une photo de l'auteur. C'est malheureusement très vite ennuyeux à cause d'un style terne et vulgaire
- Tezuka : Unico (1976), une BD pour enfant qui raconte l'histoire d'une petite licorne pourchassée par une vengeance et qui aide différents personnages en quête d'amour, c'est gentillet mais agréable
- Tezuka : Unico (1976), une BD pour enfant qui raconte l'histoire d'une petite licorne pourchassée par une vengeance et qui aide différents personnages en quête d'amour, c'est gentillet mais agréable
Donner, c'est donner, repeindre ses volets.
- Denis Gaudineau
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Johan Borgen : Lillelord (1955), un roman norvégien génial, une aventure intérieure comme j'en avais rarement lue avant, ça raconte l'adolescence d'un jeune enfant unique de la très haute bourgeoisie de Christiana juste avant la guerre 14. Un enfer psychologique magistralement dépeint où le bourreau et la victime sont souvent difficiles à départager.
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- Denis Gaudineau
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- Pierre Broué & Raymond Vacheron : Meurtre au maquis (1997), un livre d'histoire sur un épisode terrible de la Seconde Guerre Mondiale : le meurtre de quatre trotskistes (ainsi que, plus tard, deux communistes trop ouverts ; l'un des trotskistes n'est autre que Pietro Tresso, l'un des fondateurs du Parti Communiste Italien avec Gramsci) par les maquisards communistes de Haute-Loire, pourtant leurs compagnons d'évasion et de combat, sur ordre du Komintern. Et il aura fallu attendre cinquante ans pour que la vérité se fasse tellement la mauvaise conscience régna partout, tant en France qu'en Italie.
- Miduru Adachi : Niji Iro Tōgarashi (vol. 4 à 11) (1991/1992), excellent manga plein d'imagination, d'histoire et d'humour, une très bonne surprise !
- Naoki Urasawa : Pluto (vol. 4) (2003), pas mal d'action, je me demande comment il va pouvoir faire tenir son histoire
- Christian Vandendorpe : Du papyrus à l'hypertexte, essai sur les mutations du livre et de la lecture (1999), y a pire dans le genre mais, comme je le craignais, on n'apprend pas grand chose et c'est assez fumeux dans l'ensemble
- Tezuka : Hato, toujours plus haut ! (vol.1) (1964), de la bonne BD d'aventure humoristique
- Miduru Adachi : Niji Iro Tōgarashi (vol. 4 à 11) (1991/1992), excellent manga plein d'imagination, d'histoire et d'humour, une très bonne surprise !
- Naoki Urasawa : Pluto (vol. 4) (2003), pas mal d'action, je me demande comment il va pouvoir faire tenir son histoire
- Christian Vandendorpe : Du papyrus à l'hypertexte, essai sur les mutations du livre et de la lecture (1999), y a pire dans le genre mais, comme je le craignais, on n'apprend pas grand chose et c'est assez fumeux dans l'ensemble
- Tezuka : Hato, toujours plus haut ! (vol.1) (1964), de la bonne BD d'aventure humoristique
Donner, c'est donner, repeindre ses volets.
- le_fish_maker
- Suis-je (une) enceinte ?
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- Inscription : 14 juin 2011 16:34
Pour ma part en ce moment je lis :
Dreamland c'est un manga écrit par le montpellierain reno lemaire. Il est parti d'une idée simple : le fait qu'une phobie devienne une force. Ainsi les personnages en parvenant à surmonter leur peur obtiennent un pouvoir en lien avec leur phobie, ça a pas l'air comme ça mais c'est vraiment sympas ^^ .je vous le recommande vraiment!
Pour vous faitre une idée des mangas que j'aime bien : quartier lointain de taniguchi, 20th century boys, death note, fairy tail (mais je les ai relus et ça m'a moins plu que la première fois), ...
Sinon en bouquin je lis black list de kristina borjesson, c'est plusieurs journalistes qui racontent comment ils se sont fait casser après avoir enquêter là où il fallait pas.
Et en bd je lis le magasin general de loisel et tripp (il vaut le détour rien que pour la qualité des dessins) et 5 milles kilomètre par seconde de Manuele Fior
Dreamland c'est un manga écrit par le montpellierain reno lemaire. Il est parti d'une idée simple : le fait qu'une phobie devienne une force. Ainsi les personnages en parvenant à surmonter leur peur obtiennent un pouvoir en lien avec leur phobie, ça a pas l'air comme ça mais c'est vraiment sympas ^^ .je vous le recommande vraiment!
Pour vous faitre une idée des mangas que j'aime bien : quartier lointain de taniguchi, 20th century boys, death note, fairy tail (mais je les ai relus et ça m'a moins plu que la première fois), ...
Sinon en bouquin je lis black list de kristina borjesson, c'est plusieurs journalistes qui racontent comment ils se sont fait casser après avoir enquêter là où il fallait pas.
Et en bd je lis le magasin general de loisel et tripp (il vaut le détour rien que pour la qualité des dessins) et 5 milles kilomètre par seconde de Manuele Fior
- barz13
- Tombeau-Blaster
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fish maker : je confirme Black list c' est énorme, j' adore le journalisme d' investigation ;)
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