[VMM] Saison 1 - Episode 02 by Lolosormiou (Trance)
- lolosormiou
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Merci pour ton avis Denis
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je vais m'y coller mon cher lolo ; fais tu partie de la grève des boueux à marseille au fait ?lolosormiou a écrit :fanboy : quelqu'un qui est à fond sur un produit ou un constructeur, par exemple je suis un Illiad/Free fanboy bref voilà quoi
Sinon un avis sur la playlist ma chère Ludmila
- lolosormiou
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Non pas de grêve en ce moment ne me parle pas de malheur d'ailleurs aprés on se lève un arrière train pas possible pour rattraper la chose
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j'avais lu ca, c'est pour ca
"Fini-parti" : les éboueurs sauvegardent un pan de la culture marseillaise
Le "fini-parti" des éboueurs marseillais, ça marcherait s’ils finissaient effectivement avant de partir. Ça n’est pas le cas mais le tribunal administratif a décidé de ne pas leur en tenir rigueur.
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A Marseille, des touristes se promènent le long du Vieux-Port pour profiter de l'air marin : « Punaise, Simone, tu es vraiment certaine que c'est ici qu'ils tournent "Poubelle la vie ?" » « Je sais pas mais c'est plus classe à la télé... ». Le chef des boueux se nomme Lolosormiou, fauteur de désordres invraisemblables.
A Marseille, des touristes se promènent le long du Vieux-Port pour profiter de l'air marin : « Punaise, Simone, tu es vraiment certaine que c'est ici qu'ils tournent "Poubelle la vie ?" » « Je sais pas mais c'est plus classe à la télé... » Crédit STR New / Reuters
Marseille est la ville la plus sale de France. Je n’en ai pas la preuve irréfutable parce qu’il n’existe pas de palmarès annuel des villes les plus crades au sens où les “villes fleuries ” sont en concurrence les unes avec les autres, mais disons que l’observation-comparaison empirique reste un bon guide.
En tout cas, ce qui est certain, c’est que Marseille est aussi la ville où le traitement des ordures ménagères est objectivement le plus coûteux par tête d’habitant… Tu parles d’un rapport qualité-prix !
Il y a de bonnes et de mauvaises raisons à cet état de fait. D’abord, il n’est pas évident de garder propre une cité balayée par le mistral aussi souvent, le vent dispersant les emballages de hamburgers et les vieux numéros de La Provence avec autant d’enthousiasme qu’un agriculteur breton épand son lisier sur les plages du Finistère-nord.
Voilà pour LA bonne raison. Vient ensuite l’attitude du Marseillais moyen, qui ne jette un papier gras dans une corbeille que sous la menace et considère que le caniveau est une sorte de longue poubelle judicieusement placée le long des rues pour recevoir ses détritus. Le problème, c’est que les voitures garées à cheval sur le trottoir (autre spécificité locale) l’empêchent souvent d’accéder à la rigole, ce qui le force à balancer son vieux paquet de Marlboro ou la pelure de sa mandarine un peu n’importe où...
Mais surtout, le vrai gros problème, c’est la fameuse et pittoresque coutume du « fini-parti », qui autorise éboueurs et balayeurs phocéens à rentrer chez eux (ou, le plus souvent, à rejoindre leur second boulot de la journée) une fois leur tournée achevée.
3h30 de travail effectif au lieu de 7, c'est pratique pour un second job...
Dans ce contexte, il n’y a pas exactement d’obligation de résultat et l’idée n’est pas de ramasser les saloperies qui s’entassent sur le boulevard de la Libération ou la rue de la République mais bien de parcourir ces artères le plus rapidement possible (3h30 de travail effectif par jour pour 7 heures contractuelles selon la Chambre régionale des comptes).
Force ouvrière, le patron officieux de la gestion des ordures dans la ville, est d’ailleurs très vigilant sur la question et il n’est pas né le maire ou le député qui viendra mettre un terme à cette sympathique tradition provençale. D'ailleurs, s'il n’y a pas de santon-éboueur badgé FO dans la crèche, c’est certainement un oubli. Les santonniers doivent pratiquer le fini-parti, eux aussi.
Le politique qui viendrait demander des comptes aux ramasseurs d’ordures putatifs n’est pas encore né, donc, mais un simple citoyen excédé d’avoir à vivre dans une ville aussi crasseuse a décidé de passer à l’acte. Enfin, je ne sais pas si c’est réellement parce qu'il n'en pouvait plus : je crois qu’il s’agit plus d’une certaine forme d’orgueil car, comme Marseillais, on s’habitue finalement assez bien à slalomer entre sacs plastiques, vieux matelas éventrés et crottes de chiens. C’est juste qu'on a toujours un peu honte en accueillant des visiteurs originaires de lieux plus civilisés ― genre Lyon, Strasbourg ou même Nice. C'est humain.
Le type, qui préfère rester anonyme (on ne sait jamais, une chute dans le Vieux-Port des baskets en ciment aux pieds est si vite arrivée), a déposé un recours devant le tribunal administratif exigeant le retour à la, hum, « normale ». Une initiative qui fait d’ailleurs bien rigoler l’avocat de la communauté urbaine, pour qui le fini-parti est « un usage historique qu'on ne peut pas abroger ».
Argument grotesque et irrecevable ? Parigot, va ! Le quidam hygiéniste vient justement de voir son recours rejeté au profit des éboueurs champions de vitesse même si la décision ultime est encore en délibéré. Notez qu'au final, ce n'est pas plus mal puisque les « poubelleurs », comme on dit sur la Canebière, se seraient probablement mis en grève et notre bonhomme n'en aurait guère été plus heureux.
Bon, sur ce, je vous laisse. J’ai fini mon édito, je me tire.
Marseille | ramassage des ordures ménagères
- lolosormiou
- TN m'a tuer
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Ah non l'image est périmée, c'était l'an dernier ça et c'était le privé en plus qui avait grève pour le coup ^^
Source : Firestone Tobby
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- DarkZunicorn
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Salut à tous et en particulier salut à toi, mon lolo du Sud.
Mieux vaut tard que jamais, je suppose, mais je n'ai vraiment pas eu de moment à moi depuis ce début d'année et ta play-list est la seule, je dis bien la seule forme de musique que j'ai eu la possibilité d'écouter ces deux dernières semaines. Rien de tel que les obligations familiales pour vous pomper temps et énergie... Enfin, passons.
Bon, lolo, en gros techno addict que je suis je ne pouvais qu'apprécier ta play-list et ce fut effectivement le cas.
Cela dit, petit pinaillage en passant, je la trouve plus tech-trance, voire house-trance que trance tout court. Mais bon, osef, hein.
A la première composition (de Sunlounger le bien nommé), je me suis dit: nous voici à Ibiza. Chic! Je vais pouvoir danser avec les bras en l'air. Je m'y voyais déjà... Allongé sur la plage des Baléares, les orteils plantés dans le sable, à regarder le DJ terminer sa balance et nous offrir un petit extra en préambule de son set... Le soleil se couche sur la mer, je serre ma femme contre moi, on est bien, l'univers s'écroule lentement dans des feux ors et rouges. La nuit va être longue et nous avons tout le temps pour nous lever et saluer de nos corps la montée de la fièvre musicale.
Et puis Duderstadt est arrivé et ce fut comme le début d'une calme aventure. Morceau génial pour osciller debout en planant dans sa tête ou rouler à fond sur l'autoroute. Just drive me away, baby...
Et puis ça enchaîne avec Solar Stone et son épatant petit gimmick vocal, le tout très dans un esprit free party moderne, je trouve. Et notre beau véhicule couleur d'ambre et de sang continue à filer dans le crépuscule qui s'éternise...
Avec le premier track d'Aly & Fila, j'ai compris que l'affaire se corsait. D'abord le kick s'impose (et il nous pilonnera le coeur jusqu'à la fin de ta play-list ou presque). Ensuite, j'ai trouvé que les Egyptiens, avec ce morceau, nous faisaient comme entrer dans la nuit profonde et étoilée du clubbing. Pour tout dire, j'ai trouvé la rupture d'atmosphère un peu rude. Là, on n'a plus le choix: il faut danser ou souffrir. On ne peut plus tellement planer, et cela, à mon avis, malgré les passages plus lents qui, on le pressent bien à chaque fois qu'ils surviennent, ne servent que de paliers pour nous propulser ensuite dans une nouvelle frénésie rythmique
Bon, je m'accoutume. Je m'habitue à la sueur qui coule entre mes omoplates, je ferme les yeux pour mieux goûter la cadence, savourer sa rectitude, son absence d'artifice. J'ouvre mon corps à la dance.
Alors, soudain, Aly & Fila me prennent par la main et me réapprennent le "langage perdu" de la dance. Ce que j'aime vraiment beaucoup dans ce cinquième morceau, c'est à la fois la franchise de la section rythmique (drum+bass+arpèges) et, conjointement, la rugosité du lead: ça fonctionne ma foi fort bien et cela me donne même des idées pour mes propres compositions! Attention, rien de roublard là-dedans: c'est bien senti, voilà tout.
Le "Perfect Blue" d'Akesson poursuit la leçon, après les mots, les couleurs! C'est carré, bien foutu, bien construit... mais je trouve que ça manque un peu d'originalité. Je suis désolé de dire ça à propos de l'oeuvre d'un ami, lolo, mais j'ai l'impression que son track aurait gagné à être composé avec des sonorités qui ne soient pas directement "sorties de la machine". Tu lui poseras la question, mais je serais prêt à parier qu'il a dû le faire en grande partie avec les factory banks du softsynth Sylenth1 de Lennar Digital. La ligne rythmique aussi me gêne un chouïa, un peu trop "cavalcade" à mon goût (ta-ka-poum, ta-ka-poum).
Après ça, j'aurais bien voulu une nouvelle petite pause baléarique. Malheureusement, avec Ferry Tayle & Tonks, je dois t'avouer que j'ai senti que je décrochais malgré moi: de nouveau des sonorités déjà entendues souvent ailleurs, que ce soit dans des tracks dance ou trance, et aussi, hélas, une certaine lourdeur dans les articulations. Les arpèges sont un peu trop "gras" et surlignent à l'excès le martèlement du kick (et réciproquement). Et puis il y a cet usage un peu abusif (à mon goût de nouveau) du gate (le hachage des sons en fonction de la cadence) qui achève, je trouve, de plomber le morceau et m'empêche de "décoller" avec lui, même si par ailleurs j'ai plutôt apprécié les interventions assez judicieuses et bien dosées des FX (whoosh, bruits blancs, etc).
J'ai un peu plus aimé la "Dissidia" de Manuel Le Saux, ton chouchou, son habileté pour introduire la ligne mélodique, son sens du breakdown effectivement. On voit bien que le bonhomme est à son affaire. Tout est très maîtrisé. La construction du morceau, notamment, est impeccable et suffirait presque à gommer ce qui, à mon sens, constitue le seul défaut rédhibitoire du track: les montées de caisse claire. Je sais, je sais: c'est constitutif du genre. Mais, que veux-tu? dès la préhistoire de la trance, je détestais ça, ces rafales hystériques m'ont toujours horripilé au plus haut degré par leur insistance, leur côté pataud. Cela dit, je le répète, j'ai bien aimé "Dissidia" et, si ce track et le précédent sont bien représentatifs des différents talents de Manuel le Saux, je crois que je préfère nettement chez lui le créateur au remixer.
Enfin arriva Activa. Aaaah... Que voilà de la tech-trance comme je l'aime! Quel beau travail sur les textures! Plus de tentative de construction d'une quelconque mélodie, plus de savantes progressions harmoniques. Non: Activa est dans le son, purement et simplement, modestement et superbement. Et grâce à cette persistance et à cette simplicité, par ce patient et magnifique labeur de superposition des couches acoustiques, la rythmique venant comme se tisser dans la trame même des gated pads et des FX entremêlés, nous sommes à notre tour entraînés dans ce long miroitement, ce chatoiement si semblable à celui des premières lueurs de l'aube réfléchies par l'orbe transparent du ciel méditerranéen.
Car voici que le soleil se lève! On peut enfin souffler, éreinté, fourbu... émerveillé.
Merci, lolo.
Commentaire écrit pendant la durée exacte de ta play-list.
Mieux vaut tard que jamais, je suppose, mais je n'ai vraiment pas eu de moment à moi depuis ce début d'année et ta play-list est la seule, je dis bien la seule forme de musique que j'ai eu la possibilité d'écouter ces deux dernières semaines. Rien de tel que les obligations familiales pour vous pomper temps et énergie... Enfin, passons.
Bon, lolo, en gros techno addict que je suis je ne pouvais qu'apprécier ta play-list et ce fut effectivement le cas.
Cela dit, petit pinaillage en passant, je la trouve plus tech-trance, voire house-trance que trance tout court. Mais bon, osef, hein.
A la première composition (de Sunlounger le bien nommé), je me suis dit: nous voici à Ibiza. Chic! Je vais pouvoir danser avec les bras en l'air. Je m'y voyais déjà... Allongé sur la plage des Baléares, les orteils plantés dans le sable, à regarder le DJ terminer sa balance et nous offrir un petit extra en préambule de son set... Le soleil se couche sur la mer, je serre ma femme contre moi, on est bien, l'univers s'écroule lentement dans des feux ors et rouges. La nuit va être longue et nous avons tout le temps pour nous lever et saluer de nos corps la montée de la fièvre musicale.
Et puis Duderstadt est arrivé et ce fut comme le début d'une calme aventure. Morceau génial pour osciller debout en planant dans sa tête ou rouler à fond sur l'autoroute. Just drive me away, baby...
Et puis ça enchaîne avec Solar Stone et son épatant petit gimmick vocal, le tout très dans un esprit free party moderne, je trouve. Et notre beau véhicule couleur d'ambre et de sang continue à filer dans le crépuscule qui s'éternise...
Avec le premier track d'Aly & Fila, j'ai compris que l'affaire se corsait. D'abord le kick s'impose (et il nous pilonnera le coeur jusqu'à la fin de ta play-list ou presque). Ensuite, j'ai trouvé que les Egyptiens, avec ce morceau, nous faisaient comme entrer dans la nuit profonde et étoilée du clubbing. Pour tout dire, j'ai trouvé la rupture d'atmosphère un peu rude. Là, on n'a plus le choix: il faut danser ou souffrir. On ne peut plus tellement planer, et cela, à mon avis, malgré les passages plus lents qui, on le pressent bien à chaque fois qu'ils surviennent, ne servent que de paliers pour nous propulser ensuite dans une nouvelle frénésie rythmique
Bon, je m'accoutume. Je m'habitue à la sueur qui coule entre mes omoplates, je ferme les yeux pour mieux goûter la cadence, savourer sa rectitude, son absence d'artifice. J'ouvre mon corps à la dance.
Alors, soudain, Aly & Fila me prennent par la main et me réapprennent le "langage perdu" de la dance. Ce que j'aime vraiment beaucoup dans ce cinquième morceau, c'est à la fois la franchise de la section rythmique (drum+bass+arpèges) et, conjointement, la rugosité du lead: ça fonctionne ma foi fort bien et cela me donne même des idées pour mes propres compositions! Attention, rien de roublard là-dedans: c'est bien senti, voilà tout.
Le "Perfect Blue" d'Akesson poursuit la leçon, après les mots, les couleurs! C'est carré, bien foutu, bien construit... mais je trouve que ça manque un peu d'originalité. Je suis désolé de dire ça à propos de l'oeuvre d'un ami, lolo, mais j'ai l'impression que son track aurait gagné à être composé avec des sonorités qui ne soient pas directement "sorties de la machine". Tu lui poseras la question, mais je serais prêt à parier qu'il a dû le faire en grande partie avec les factory banks du softsynth Sylenth1 de Lennar Digital. La ligne rythmique aussi me gêne un chouïa, un peu trop "cavalcade" à mon goût (ta-ka-poum, ta-ka-poum).
Après ça, j'aurais bien voulu une nouvelle petite pause baléarique. Malheureusement, avec Ferry Tayle & Tonks, je dois t'avouer que j'ai senti que je décrochais malgré moi: de nouveau des sonorités déjà entendues souvent ailleurs, que ce soit dans des tracks dance ou trance, et aussi, hélas, une certaine lourdeur dans les articulations. Les arpèges sont un peu trop "gras" et surlignent à l'excès le martèlement du kick (et réciproquement). Et puis il y a cet usage un peu abusif (à mon goût de nouveau) du gate (le hachage des sons en fonction de la cadence) qui achève, je trouve, de plomber le morceau et m'empêche de "décoller" avec lui, même si par ailleurs j'ai plutôt apprécié les interventions assez judicieuses et bien dosées des FX (whoosh, bruits blancs, etc).
J'ai un peu plus aimé la "Dissidia" de Manuel Le Saux, ton chouchou, son habileté pour introduire la ligne mélodique, son sens du breakdown effectivement. On voit bien que le bonhomme est à son affaire. Tout est très maîtrisé. La construction du morceau, notamment, est impeccable et suffirait presque à gommer ce qui, à mon sens, constitue le seul défaut rédhibitoire du track: les montées de caisse claire. Je sais, je sais: c'est constitutif du genre. Mais, que veux-tu? dès la préhistoire de la trance, je détestais ça, ces rafales hystériques m'ont toujours horripilé au plus haut degré par leur insistance, leur côté pataud. Cela dit, je le répète, j'ai bien aimé "Dissidia" et, si ce track et le précédent sont bien représentatifs des différents talents de Manuel le Saux, je crois que je préfère nettement chez lui le créateur au remixer.
Enfin arriva Activa. Aaaah... Que voilà de la tech-trance comme je l'aime! Quel beau travail sur les textures! Plus de tentative de construction d'une quelconque mélodie, plus de savantes progressions harmoniques. Non: Activa est dans le son, purement et simplement, modestement et superbement. Et grâce à cette persistance et à cette simplicité, par ce patient et magnifique labeur de superposition des couches acoustiques, la rythmique venant comme se tisser dans la trame même des gated pads et des FX entremêlés, nous sommes à notre tour entraînés dans ce long miroitement, ce chatoiement si semblable à celui des premières lueurs de l'aube réfléchies par l'orbe transparent du ciel méditerranéen.
Car voici que le soleil se lève! On peut enfin souffler, éreinté, fourbu... émerveillé.
Merci, lolo.
Commentaire écrit pendant la durée exacte de ta play-list.
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- lolosormiou
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Je suis tout exalté par tes propos
Je m'inquiétais du long temps passé sans te voir, on en parlait cet aprés-midi sur IRC d'ailleurs avec barzinet, donc en bon anglais welcome back François
Je m'inquiétais du long temps passé sans te voir, on en parlait cet aprés-midi sur IRC d'ailleurs avec barzinet, donc en bon anglais welcome back François
Source : Firestone Tobby
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