[Campfire Audio] Flagship & Cie...
Le moment est venu de vous parler, dans les limites de mes modestes capacités, du flagship de Campfire l'ATLAS
Sortis l'année dernière, ces intras sont venus se hisser en haut de la pyramide Campfire avec la promesse d'un « son gigantesque et fantastique» (SIC !).
Bien que je sois plus adepte des restitutions claires et équilibrées, j'ai toujours eu un casque ou un intra démonstratif à coté de mes autres systèmes : à l'époque de l'HD800 il s'agissait du TH900, aujourd'hui les ATLAS sont venus compléter les ANDROMEDA.
J'ai écouté les ATLAS sur différents systèmes (de gauche à droite : HUGO 2 - MICRO IDSD BL - DX200 - FIIO X5III)
[image w=800 h=600]https://nsa39.casimages.com/img/2018/09/29/180929095136382702.jpg[/image]
Chaque changement a apporté des différences audibles, mais globalement, les écarts n'ont jamais été énormes, contrairement aux ANDRO plus sensibles à la source.
J'imagine que cela est à rapprocher de la signature assez assumée des ATLAS qui impriment plus nettement leur marque que les ANDRO.
PRESENTATION GENERALE
Issus des VEGA, les ATLAS sont conçus autour d'un driver dynamique qui passe de 8,5mm pour les VEGA à de 10 mm pour les ATLAS.
Il s'agit toujours d'un diaphragme ADLC (amorphous diamond like carbon) un hybride de diamant non cristallin et de graphite sensé offrir une faible densité et une rigidité élevée.
Réponse en fréquence de 5 Hz à 20 kHz
Sensibilité de 105 dB SPL / mW
19 Ohms à 1 kHz Impédance
Distorsion harmonique totale inférieure à 1%
UNBOXING/b]
Le packaging de l'Atlas est assez classique chez Campfire, et on retrouve peu ou prou la même présentation que celle des andros, des lyras II ou des comet.
Le jeu d'embouts mousse et silicone est assez complet, et la housse de transport est de bonne qualité avec un rendu assez premium.
QUALITE DE FABRICATION
Les ATLAS son conçus en acier inoxydable polis à la main. Il sont denses et offrent un rendu très qualitatif.
Beaucoup d'attention a été portée au détail, c'est incontestable.
Contrairement aux COMET qui sont totalement scellés, les ATLAS disposent d'un petit évent sur l'arrière. Cela n'a pas vraiment d'incidence sur l'isolation, mais cela doit probablement participer au contrôle assez phénoménal du grave.
[url=https://www.casimages.:com/i/180929091649481751.jpg.html][/url]
Une mention spéciale doit être décernée au câble Litz en argent pur qui est probablement l’un des plus beau câble stock que j'ai eu l'occasion de voir.
La finition est top. Le câble est léger tout en étant robuste, ne se tortille pas, et est exempt de bruits microphoniques.
A moins de vouloir symétriser ses intras, je ne vois aucun intérêt d'aller chercher ailleurs un câble "hight end".
Comme avec tous les câbles Campfire, les connecteurs sont en hybride béryllium-cuivre pour plus de durabilité.
J'ai toujours eu une préférence pour le MMCX, et effectivement les multiples débranchement effectués sur les autres modèles de la marque n'ont jamais modifié la tenue de l'insertion dans le temps contrairement aux 2 pins de mes EM6 et EM32 qui ne tiennent presque plus.
CONFORT
Les ATLAS sont nettement plus gros que les COMET, et dans l'oreille, cela se ressent. Le fut est plus large et plus long.
Contrairement aux COMET LYRAII ou ANDROMEDA que j'ai toujours préférés avec les tips en silicone, c'est avec les mousses que j'ai préféré les ATLAS.
L'avantage des mousses est que les ATLAS restent bien fixés.
En revanche, comme le seal se fait pour moi sur les premiers millimètres, les ATLAS ressortent assez nettement de l'oreille ce qui, associé à leur reflet brillant façon bijoux fantaisies, donne un look que je ne serai pas sûr de vouloir assumer en extérieur
SON
impression générale
Ceux qui découvriront les ATLAS après les VEGA ou tout autre intras bien pourvus sur les basses, seront en terrain connu, et probablement moins secoués que je l'ai été à la première écoute.
Pour ma part, venant des andros, capables de basses consistantes, mais avant tout équilibré, le choc a été rude de prendre les basses de l'ATLAS en pleine tronche.
Ces intras ont nécessité un temps d'adaptation assez long pour que le cerveau « s'habitue » à cette présentation et cesse de focaliser sur le registre grave pour découvrir tout ce qui se trouve au dessus.
Basse
La basse est évidemment la première chose qui frappe, au propre comme au figuré , à la première écoute de ces intras.
Le grave est massif.
Il a une tendance, au cours des premières heures d'écoute, à donner l'impression d'envahir le paysage, ce qui demandera à ceux qui sont des adeptes des écoutes équilibrées, un temps d'adaptation de plusieurs jours pour prendre la mesure de la bête.
Passée cette nécessaire phase d'acclimatation, le travail de Campfire sur ce grave prend toute sa dimension tant il est riche et texturé.
Il ne s'agit pas seulement de vitesse d'impact et d'épaisseur, il s'agit surtout de contrôle, de cette capacité à venir frapper brutalement et massivement pour s'éclipser tout aussi vite, sans traînage.
C'est un savant mélange de sauvagerie et de finesse, qui rend cet intra très crédible dans son exercice, car il est capable d'énormément de nuance.
L'emphase du grave parait venir, un peu à la manière de l'abyss, des profondeurs extrêmes pour décroitre progressivement vers les mediums, ce qui contribue grandement à éviter l'écueil de la caricature, et l’inévitable effet de masque des instra qui forcent trop sur le haut medium faute de pouvoir aller chercher plus bas.
Medium
Le risque avec un tel parti pris sur les graves est d'encapsuler le medium avec une signature en V marquée, et des voix en retraits.
Aussi, ma principale crainte lors de l'achat était que le grave masque le bas médium et déséquilibre outrageusement la restitution.
C'est pour cette raison que j'avais fait l'impasse (à tort peut-être) sur les VEGA.
La deuxième performance des ATLAS est donc d'avoir été capables, grâce à l'atténuation progressive du grave à la jonction des mediums, de conserver un médium naturel. Il n’y a aucune débordement du grave qui reste en permanence sous contrôle.
Les voix profitent de la signature dominante pour gagner en épaisseur et en texture, mais elles gardent suffisamment de clarté et de détachement pour s'exprimer et trouver naturellement leur place.
Même si le registre vocal n'est pas le point central de ces intras, il n'est pas pour autant en retrait.
Même s’il serait dommage de réduire les ATLAS à cet usage, je les trouves fantastiques pour les séries et les films tant l'immersion est top
Aigus
Probablement la chose que j'ai mis le plus de temps à identifier tant j’étais focalisé sur le bas.
Les aigus que l'on aurait tendance à négliger devant la performance immédiate du grave, sont tout bonnement excellents
Les COMET, sorties en même temps que les ATLAS, m'avaient un peu indisposés sur ce registre, car pour gagner en clarté et ouvrir un peu la scène, Campfire avait opté pour un pic d'aigu dans la zone de stridence qui calmait méchamment les velléités de monter le son.
Rien de ça avec les ATLAS, les aigus filent haut, presque autant que ceux des andro.
Ils sont texturés, avec de l'éclat et du peps, ce qui permet de venir ajouter un peu d'équilibre face au grave profond.
On est bien en présence d’un intra XXL
Ce sont des intras avec lesquels on peut écouter à des niveau élevés sans s'en rendre compte, ça file haut mais sans jamais agresser. La encore, la maitrise de Campfire est étonnante.
C'est donc un belle surprise qu'offrent ces intras sur ce registre.
Scène sonore
La scène est cohérente, pas aussi large que celle des andromedas, mais elle gagne en profondeur.
L'écoute est hors de la tête, bien que proche. Il n’y a aucun confinement.
La séparation est d'un bon niveau. Malgré l'épaisseur du son, il y a de l'espace entre les instruments, même si sur ce point aussi, les andro font mieux.
CONCLUSION
Les ATLAS ne sont bien évidemment pas ce monument d'équilibre que sont les andros.
Ceci étant, l'orientation basseuse, parfaitement assumée par Campfire, est exécutée avec maestria et évite haut la main l'écueil de la caricature.
C’est un intra typé, mais qui conserve le sens de la mesure, de l’équilibre, bref de la musique
Ceux qui trouvent les andros trop sages devraient être ravis, étant toutefois rappelé que la taille et le clinquant de ces intras les rendent tout aussi discrets en ville que les andro dans leur livrée verte
Sortis l'année dernière, ces intras sont venus se hisser en haut de la pyramide Campfire avec la promesse d'un « son gigantesque et fantastique» (SIC !).
Bien que je sois plus adepte des restitutions claires et équilibrées, j'ai toujours eu un casque ou un intra démonstratif à coté de mes autres systèmes : à l'époque de l'HD800 il s'agissait du TH900, aujourd'hui les ATLAS sont venus compléter les ANDROMEDA.
J'ai écouté les ATLAS sur différents systèmes (de gauche à droite : HUGO 2 - MICRO IDSD BL - DX200 - FIIO X5III)
[image w=800 h=600]https://nsa39.casimages.com/img/2018/09/29/180929095136382702.jpg[/image]
Chaque changement a apporté des différences audibles, mais globalement, les écarts n'ont jamais été énormes, contrairement aux ANDRO plus sensibles à la source.
J'imagine que cela est à rapprocher de la signature assez assumée des ATLAS qui impriment plus nettement leur marque que les ANDRO.
PRESENTATION GENERALE
Issus des VEGA, les ATLAS sont conçus autour d'un driver dynamique qui passe de 8,5mm pour les VEGA à de 10 mm pour les ATLAS.
Il s'agit toujours d'un diaphragme ADLC (amorphous diamond like carbon) un hybride de diamant non cristallin et de graphite sensé offrir une faible densité et une rigidité élevée.
Réponse en fréquence de 5 Hz à 20 kHz
Sensibilité de 105 dB SPL / mW
19 Ohms à 1 kHz Impédance
Distorsion harmonique totale inférieure à 1%
UNBOXING/b]
Le packaging de l'Atlas est assez classique chez Campfire, et on retrouve peu ou prou la même présentation que celle des andros, des lyras II ou des comet.
Le jeu d'embouts mousse et silicone est assez complet, et la housse de transport est de bonne qualité avec un rendu assez premium.
QUALITE DE FABRICATION
Les ATLAS son conçus en acier inoxydable polis à la main. Il sont denses et offrent un rendu très qualitatif.
Beaucoup d'attention a été portée au détail, c'est incontestable.
Contrairement aux COMET qui sont totalement scellés, les ATLAS disposent d'un petit évent sur l'arrière. Cela n'a pas vraiment d'incidence sur l'isolation, mais cela doit probablement participer au contrôle assez phénoménal du grave.
[url=https://www.casimages.:com/i/180929091649481751.jpg.html][/url]
Une mention spéciale doit être décernée au câble Litz en argent pur qui est probablement l’un des plus beau câble stock que j'ai eu l'occasion de voir.
La finition est top. Le câble est léger tout en étant robuste, ne se tortille pas, et est exempt de bruits microphoniques.
A moins de vouloir symétriser ses intras, je ne vois aucun intérêt d'aller chercher ailleurs un câble "hight end".
Comme avec tous les câbles Campfire, les connecteurs sont en hybride béryllium-cuivre pour plus de durabilité.
J'ai toujours eu une préférence pour le MMCX, et effectivement les multiples débranchement effectués sur les autres modèles de la marque n'ont jamais modifié la tenue de l'insertion dans le temps contrairement aux 2 pins de mes EM6 et EM32 qui ne tiennent presque plus.
CONFORT
Les ATLAS sont nettement plus gros que les COMET, et dans l'oreille, cela se ressent. Le fut est plus large et plus long.
Contrairement aux COMET LYRAII ou ANDROMEDA que j'ai toujours préférés avec les tips en silicone, c'est avec les mousses que j'ai préféré les ATLAS.
L'avantage des mousses est que les ATLAS restent bien fixés.
En revanche, comme le seal se fait pour moi sur les premiers millimètres, les ATLAS ressortent assez nettement de l'oreille ce qui, associé à leur reflet brillant façon bijoux fantaisies, donne un look que je ne serai pas sûr de vouloir assumer en extérieur
SON
impression générale
Ceux qui découvriront les ATLAS après les VEGA ou tout autre intras bien pourvus sur les basses, seront en terrain connu, et probablement moins secoués que je l'ai été à la première écoute.
Pour ma part, venant des andros, capables de basses consistantes, mais avant tout équilibré, le choc a été rude de prendre les basses de l'ATLAS en pleine tronche.
Ces intras ont nécessité un temps d'adaptation assez long pour que le cerveau « s'habitue » à cette présentation et cesse de focaliser sur le registre grave pour découvrir tout ce qui se trouve au dessus.
Basse
La basse est évidemment la première chose qui frappe, au propre comme au figuré , à la première écoute de ces intras.
Le grave est massif.
Il a une tendance, au cours des premières heures d'écoute, à donner l'impression d'envahir le paysage, ce qui demandera à ceux qui sont des adeptes des écoutes équilibrées, un temps d'adaptation de plusieurs jours pour prendre la mesure de la bête.
Passée cette nécessaire phase d'acclimatation, le travail de Campfire sur ce grave prend toute sa dimension tant il est riche et texturé.
Il ne s'agit pas seulement de vitesse d'impact et d'épaisseur, il s'agit surtout de contrôle, de cette capacité à venir frapper brutalement et massivement pour s'éclipser tout aussi vite, sans traînage.
C'est un savant mélange de sauvagerie et de finesse, qui rend cet intra très crédible dans son exercice, car il est capable d'énormément de nuance.
L'emphase du grave parait venir, un peu à la manière de l'abyss, des profondeurs extrêmes pour décroitre progressivement vers les mediums, ce qui contribue grandement à éviter l'écueil de la caricature, et l’inévitable effet de masque des instra qui forcent trop sur le haut medium faute de pouvoir aller chercher plus bas.
Medium
Le risque avec un tel parti pris sur les graves est d'encapsuler le medium avec une signature en V marquée, et des voix en retraits.
Aussi, ma principale crainte lors de l'achat était que le grave masque le bas médium et déséquilibre outrageusement la restitution.
C'est pour cette raison que j'avais fait l'impasse (à tort peut-être) sur les VEGA.
La deuxième performance des ATLAS est donc d'avoir été capables, grâce à l'atténuation progressive du grave à la jonction des mediums, de conserver un médium naturel. Il n’y a aucune débordement du grave qui reste en permanence sous contrôle.
Les voix profitent de la signature dominante pour gagner en épaisseur et en texture, mais elles gardent suffisamment de clarté et de détachement pour s'exprimer et trouver naturellement leur place.
Même si le registre vocal n'est pas le point central de ces intras, il n'est pas pour autant en retrait.
Même s’il serait dommage de réduire les ATLAS à cet usage, je les trouves fantastiques pour les séries et les films tant l'immersion est top
Aigus
Probablement la chose que j'ai mis le plus de temps à identifier tant j’étais focalisé sur le bas.
Les aigus que l'on aurait tendance à négliger devant la performance immédiate du grave, sont tout bonnement excellents
Les COMET, sorties en même temps que les ATLAS, m'avaient un peu indisposés sur ce registre, car pour gagner en clarté et ouvrir un peu la scène, Campfire avait opté pour un pic d'aigu dans la zone de stridence qui calmait méchamment les velléités de monter le son.
Rien de ça avec les ATLAS, les aigus filent haut, presque autant que ceux des andro.
Ils sont texturés, avec de l'éclat et du peps, ce qui permet de venir ajouter un peu d'équilibre face au grave profond.
On est bien en présence d’un intra XXL
Ce sont des intras avec lesquels on peut écouter à des niveau élevés sans s'en rendre compte, ça file haut mais sans jamais agresser. La encore, la maitrise de Campfire est étonnante.
C'est donc un belle surprise qu'offrent ces intras sur ce registre.
Scène sonore
La scène est cohérente, pas aussi large que celle des andromedas, mais elle gagne en profondeur.
L'écoute est hors de la tête, bien que proche. Il n’y a aucun confinement.
La séparation est d'un bon niveau. Malgré l'épaisseur du son, il y a de l'espace entre les instruments, même si sur ce point aussi, les andro font mieux.
CONCLUSION
Les ATLAS ne sont bien évidemment pas ce monument d'équilibre que sont les andros.
Ceci étant, l'orientation basseuse, parfaitement assumée par Campfire, est exécutée avec maestria et évite haut la main l'écueil de la caricature.
C’est un intra typé, mais qui conserve le sens de la mesure, de l’équilibre, bref de la musique
Ceux qui trouvent les andros trop sages devraient être ravis, étant toutefois rappelé que la taille et le clinquant de ces intras les rendent tout aussi discrets en ville que les andro dans leur livrée verte
Dernière modification par oswald66 le 01 oct. 2018 13:57, modifié 4 fois.
Super retour Oswald, merci !
Dans le prolongement des Vega semble-t-il, je vais essayer de croiser leur route.
Dans le prolongement des Vega semble-t-il, je vais essayer de croiser leur route.
Merci par ce CR avec de belles photos
- CASQUES : Stax SR-009/ Fostex Th900 mk2 Sapphire
AMPLI/DAC : Auris Audio Nirvana mk2(Psvane EL34-PH/ Telefunken ECC802S)/ Chord Hugo TT2/ Chord Hugo2/ iFi Audio IESL Pro
DAP : Lotoo Paw 6000
IEM : Sony WF-1000XM5
- DarkZunicorn
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Superbe retour. Merci, oswald66.
Tu as juste oublié de parler du prix, me semble-t-il... et aussi (surtout) du rapport q/p des Atlas, notamment par rapport à celui des Andromeda et des Vega.
Tu as juste oublié de parler du prix, me semble-t-il... et aussi (surtout) du rapport q/p des Atlas, notamment par rapport à celui des Andromeda et des Vega.
Tanchjim Space → Raptgo Hook-X avec Lunashops LN008426 et SpinFit W1
Tanchjim Luna → TinHIFI P1 Max II Giant Panda avec KBEar Wide et Penon Liqueur Black
Pioneer U-05-S → Geshelli Erish → Fostex TH-610 avec Lunashops LN008324 XLR4 et bonnettes d'origine
Tanchjim Luna → TinHIFI P1 Max II Giant Panda avec KBEar Wide et Penon Liqueur Black
Pioneer U-05-S → Geshelli Erish → Fostex TH-610 avec Lunashops LN008324 XLR4 et bonnettes d'origine
C’est vrai, le prix est de 1.299 $
C’est également le prix que j’ai payé en euros depuis le distributeur allemand. On peut trouver moins cher depuis la chine, mais avec 0 SAV
En neuf l’écart de prix est faible avec les andro, et dans les deux cas on en a pour son argent
C’est également le prix que j’ai payé en euros depuis le distributeur allemand. On peut trouver moins cher depuis la chine, mais avec 0 SAV
En neuf l’écart de prix est faible avec les andro, et dans les deux cas on en a pour son argent
- DarkZunicorn
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Merci !
Tanchjim Space → Raptgo Hook-X avec Lunashops LN008426 et SpinFit W1
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Super retour merci !!
- kristo13
- Il est frais mon topic !
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- Inscription : 11 mars 2013 23:11
- Localisation : Marseille
- Contact :
Merci pour cet excellent retour qui donne clairement envie de jeter un coup d'oreille à ces intras.
- EarMen Tradutto & CH-Amp
- Sennheiser HD660s2
- Hifiman Audivina
A vendre : Hifiman Sundara Closed-Back
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- bourbon kid
- Je me suis greffé des intras
- Messages : 1583
- Inscription : 18 mars 2017 14:33
- Localisation : chalons en champagne
- Contact :
Il n'y a pas de partie rigide sur le tour d'oreille du cable on dirais ??
Du coup , cable par dessus l'oreille ou bien pendant ??
Et super compte-rendu
Du coup , cable par dessus l'oreille ou bien pendant ??
Et super compte-rendu
Shanling M8 + Fidelio X1
Le câble est ultra souple et autorise le passage en tour d'oreille ou pendant, c'est au gout de chacun.
Le seal avec les mousse tient très bien, du coup j'ai opté pour le port pendant, ce câble est super léger et ne se sent pas.
Quand je vous dis que ce câble est une tuerie
Le seal avec les mousse tient très bien, du coup j'ai opté pour le port pendant, ce câble est super léger et ne se sent pas.
Quand je vous dis que ce câble est une tuerie
Le même que celui des Vega, Andro et cie ?
- CASQUES : Stax SR-009/ Fostex Th900 mk2 Sapphire
AMPLI/DAC : Auris Audio Nirvana mk2(Psvane EL34-PH/ Telefunken ECC802S)/ Chord Hugo TT2/ Chord Hugo2/ iFi Audio IESL Pro
DAP : Lotoo Paw 6000
IEM : Sony WF-1000XM5
Super retour
End of the game : Cayin n8ii + Empire ears Odyssey + EA Chiron 8W+ Sedna crystal
Essai des EE Raven
Devise "Je me demande si je ne fais pas une connerie en le vendant."
Essai des EE Raven
Devise "Je me demande si je ne fais pas une connerie en le vendant."