Il est vrai qu'en plus d'être un grand musicien c'était un personnage émouvant (quel parcours après la rémission de son premier cancer !)will940 a écrit :moi non plus je ne suis pas objectif avec Abbado...spitribe a écrit : abbado - Lucerne Festival Orchestra (celle dont la coda du 1er mvt m'a fait pleurer... mais je ne suis pas objectif avec abbado non plus )
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Pas trop le temps de participer à la discussion en ce moment, mais si on s'en tient à la 9e (qui est aussi ma préférée, même si l'adagio de la 8e est pour moi un sommet), j'ajouterais en premier lieu la version de Rémi Ballot enregistrée à St-Florian et captée live par Gramola. Parce que j'y étais, mais aussi parce que Ballot a été l'assistant de Celibidache dont il prolonge l'esprit. Les tempi lents ne conviennent pas à toutes les symphonies, mais j'aime bien m'offrir un Celibidache, un Tintner ou un Giulini de temps en temps. Parmi les interprétations plus classiques, j'ajouterais celles de Gielen, de Sawallisch ou de Skrowaczewski. Ainsi que celle de Simone Young, la bonne surprise des dernières années. Celle d'Harnoncourt est discutable, mais originale. A signaler aussi la reconstitution du Finale proposée par Rattle avec les Berliner.
Celle d'Abbado, dont c'est le tout dernier concert, est de l'émotion pure...
Celle d'Abbado, dont c'est le tout dernier concert, est de l'émotion pure...
Bon... Il va me falloir étoffer mon comparatifalphatak a écrit :Pas trop le temps de participer à la discussion en ce moment, mais si on s'en tient à la 9e (qui est aussi ma préférée, même si l'adagio de la 8e est pour moi un sommet), j'ajouterais en premier lieu la version de Rémi Ballot enregistrée à St-Florian et captée live par Gramola. Parce que j'y étais, mais aussi parce que Ballot a été l'assistant de Celibidache dont il prolonge l'esprit. Les tempi lents ne conviennent pas à toutes les symphonies, mais j'aime bien m'offrir un Celibidache, un Tintner ou un Giulini de temps en temps. Parmi les interprétations plus classiques, j'ajouterais celles de Gielen, de Sawallisch ou de Skrowaczewski. Ainsi que celle de Simone Young, la bonne surprise des dernières années. Celle d'Harnoncourt est discutable, mais originale. A signaler aussi la reconstitution du Finale proposée par Rattle avec les Berliner.
Celle d'Abbado, dont c'est le tout dernier concert, est de l'émotion pure... :(
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Oups pas vu!
Dans les intégrales Bruckner : Haitink parce que c’est un de mes premiers coffrets vinyles, que j’ai toujours associé Bruckner à Haitink en négligeant un peu le reste. Mon Bruckner de Coeur: Celibidache qui a tout enregistré dans les années 90 enregistrements qui donnent un bon aperçu des rapports qu’entretenait Celibidache avec l’oeuvre De Bruckner: il y a du génie dans ses interprétations, la lenteur de ses tempos, l’incroyable vision du chef sur cette œuvre. Des enregistrements hors du temps qui restent ce que je préfère. Entendre l’adagio de la 8eme par le munchner philarmoniker, quoi de mieux
Dans les intégrales Bruckner : Haitink parce que c’est un de mes premiers coffrets vinyles, que j’ai toujours associé Bruckner à Haitink en négligeant un peu le reste. Mon Bruckner de Coeur: Celibidache qui a tout enregistré dans les années 90 enregistrements qui donnent un bon aperçu des rapports qu’entretenait Celibidache avec l’oeuvre De Bruckner: il y a du génie dans ses interprétations, la lenteur de ses tempos, l’incroyable vision du chef sur cette œuvre. Des enregistrements hors du temps qui restent ce que je préfère. Entendre l’adagio de la 8eme par le munchner philarmoniker, quoi de mieux
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Ça me fait plaisir de lire ça, car Celibidache est assez décrié par les Brucknerophiles, même s'il parvient à maintenir une tension miraculeuse avec des tempi si lents. Je comprends qu'on déteste. Moi, c'est l'inverse, j'adore (j'ai tout ce que Celibidache a enregistré et qui est disponible en CD, chez EMI ou chez DG).Popof94 a écrit :Mon Bruckner de Coeur: Celibidache qui a tout enregistré dans les années 90 et qui donne un bon aperçu des rapports qu’entretenait Celibidache avec l’oeuvre De Bruckner: il y a du génie dans ses interprétations, la lenteur de ses tempos, l’incroyable vision du chef sur cette œuvre. Des enregistrements hors du temps qui restent ce que je préfère.
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Dernière modification par alphatak le 08 nov. 2018 18:58, modifié 1 fois.
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Je suis d’accord, Bruckner il y a Celibidache et les autres. Certains chef comme Jochum, abbado et autres ont eu des éclairs de génie sur certaines symphonies comme notamment la neuvième mais aucun pour moi n’a réussi à avoir sur l’ensemble de l’oeuvre Symphonique de Bruckner une telle vision d’ensemble. En écoutant Celibidache chaque symphonie fait partie du même puzzle, il y a une unité dans la lecture que je ne retrouve pas ailleurs, même pas chez Bernard Haitink. Celibidache est à Bruckner ce que Robuchon était à la cuisine: un visionnaire et un génie.
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Oui, mais bon, c'est difficile de conseiller Celibidache comme écoute initiale. Moi, je ne le fais jamais, ou alors je passe en même temps d'autres intégrales : Jochum, Gielen, Wand, Haïtink ou Skrowaczewski, plus celle précieuse d'Inbal pour avoir les versons initiales des symphonies.
Merci pour la proposition Je vais déjà commencer par ceux que tu as cité et que je n'ai pas déjà (tintner, skrowacewski, young, ballot), trouvables je pense sur la plate-forme Tidal où je suis abonné. J'ai un doute sur la disponibilité de rémi ballot cependant.alphatak a écrit :J'ai une grosse trentaine de versions de la 9e en FLAC, et quelques autres en CD que j'ai eu la flemme de ripper. Si tu veux élargir ton comparatif, ça peut s'arranger... ;-/
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Je conseille rarement quoi que ce soit car mon entourage en connaît bien plus que moi. Par contre j’ecoute en général pour une œuvre donnée les 3 ou 4 versions qui font consensus. En choisi une voire 2 pas plus puis n’ecoute que celles là. Je n’ai pas énormément de versions différentes car en fait je ne les écouterais pas. C’est un parti pris qui n’est peut être pas le top mais ça me convient.alphatak a écrit :Oui, mais bon, c'est difficile de conseiller Celibidache comme écoute initiale. Moi, je ne le fais jamais, ou alors je passe en même temps d'autres intégrales : Jochum, Gielen, Wand, Haïtink ou Skrowaczewski, plus celle précieuse d'Inbal pour avoir les versons initiales des symphonies.
Par exemple pour les symphonies de Malher c’est l’integrale Bernstein, les sonates piano violon de Beethoven: Perlman ashkenazy (ça date), chostakovitch les quatuors: les Borodine dans la formation initiale, Satie les gymnopedie: ciccolini, ravel et Debussy au piano: Vlado Perlemuter, intégrale Chopin au piano: El Bacha et ainsi de suite. Je n’ecoute que rarement de nouvelles versions ou des anciennes que je ne connais pas. Je préfère écouter des œuvres ou des compositeurs que je ne connais pas ou mal. C’est donc une approche assez différente. Je n’ecoute Certainement pas les versions dites référence mais plutôt celles qui me plaisent parmis celles les plus fréquemment citées. Par exemple je n’aime en général pas Karajan mais aime le philharmonique de Berlin dirigé par d’autres: abbado
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Je fonctionne également comme toi, sauf pour Bruckner et – de façon plus modérée – pour Mahler. Je suis plutôt à la recherche d’œuvres que je ne connais pas encore, comme les symphonies d'Atterberg (sous la baguette de Neeme Järvi) que j'écoute actuellement. Le label CPO est à cet égard extraordinaire en explorant un répertoire quasiment vierge d'enregistrements. Si tu as un abonnement à Qobuz, écoute par exemple les concertos pour violoncelle de Röntgen : https://www.qobuz.com/fr-fr/album/rontg ... 1203723423Popof94 a écrit :Je conseille rarement quoi que ce soit car mon entourage en connaît bien plus que moi. Par contre j’ecoute en général pour une œuvre donnée les 3 ou 4 versions qui font consensus. En choisi une voire 2 pas plus puis n’ecoute que celles là. Je n’ai pas énormément de versions différentes car en fait je ne les écouterais pas. C’est un parti pris qui n’est peut être pas le top mais ça me convient.
Par exemple pour les symphonies de Malher c’est l’integrale Bernstein, les sonates piano violon de Beethoven: Perlman ashkenazy (ça date), chostakovitch les quatuors: les Borodine dans la formation initiale, Satie les gymnopedie: ciccolini, ravel et Debussy au piano: Vlado Perlemuter, intégrale Chopin au piano: El Bacha et ainsi de suite. Je n’ecoute que rarement de nouvelles versions ou des anciennes que je ne connais pas. Je préfère écouter des œuvres ou des compositeurs que je ne connais pas ou mal. C’est donc une approche assez différente. Je n’ecoute Certainement pas les versions dites référence mais plutôt celles qui me plaisent parmis celles les plus fréquemment citées. Par exemple je n’aime en général pas Karajan mais aime le philharmonique de Berlin dirigé par d’autres: abbado
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Un coffret que je conseille fortement:
D’une part parce que les enregistrements sont de toutes beauté.
Que le New York philarmonic sous la baguette de Léonard Bernstein fait pour moi sur le répertoire symphonique partie des 4 ou 5 meilleures formations de tous les temps.
Que Léonard Bernstein compositeur et chef inspiré donne avec le philarmonic des interprétations d’un énergie et d’une puissance émotionnelle rare.
Enfin que ce coffret exceptionnel donne ce qui est à mon avis la plus belle intégrale des symphonies de Malher.
Pour les non initiés mais aussi pour tous les autres écoutez le 2eme mouvement de la 5ème de Malher, vous en sortirez j’espere convaincu.
D’une part parce que les enregistrements sont de toutes beauté.
Que le New York philarmonic sous la baguette de Léonard Bernstein fait pour moi sur le répertoire symphonique partie des 4 ou 5 meilleures formations de tous les temps.
Que Léonard Bernstein compositeur et chef inspiré donne avec le philarmonic des interprétations d’un énergie et d’une puissance émotionnelle rare.
Enfin que ce coffret exceptionnel donne ce qui est à mon avis la plus belle intégrale des symphonies de Malher.
Pour les non initiés mais aussi pour tous les autres écoutez le 2eme mouvement de la 5ème de Malher, vous en sortirez j’espere convaincu.
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